Altération de la concentration et des fonctions cognitives : Une utilisation excessive des écrans peut contribuer à des problèmes de concentration, d’attention et de mémoire. Les écrans stimulent le cerveau de manière différente par rapport à d’autres activités « naturelles », et cela peut nuire à la capacité de se concentrer sur des tâches importantes. Cette exposition excessive aux écrans, en particulier lorsque cela devient une habitude, peut avoir un impact négatif sur la concentration et les fonctions cognitives :
Déficit de l’attention : L’utilisation prolongée d’écrans peut entraîner un déficit d’attention, car elle encourage la distraction constante. Les notifications, les vidéos courtes et le saut fréquent d’une tâche à l’autre peuvent rendre difficile la concentration sur une seule tâche.
Baisse de la productivité : Les écrans, en particulier les réseaux sociaux, les vidéos en ligne et les jeux, peuvent devenir une source de distraction importante et envahissante. Passer du temps sur ces plateformes peut réduire la productivité, car cela interrompt fréquemment le travail ou les études.
Effet sur la mémoire : Les recherches suggèrent que la surutilisation des écrans peut affecter la mémoire de travail, qui est essentielle pour la résolution de problèmes et la prise de décision. Les distractions en ligne peuvent entraver la capacité à retenir et à organiser des informations. Le manque de sommeil ou un sommeil pas assez réparateur ne permettent pas au cerveau de faire son travail d’archivage et de mémorisation.
Impact sur les compétences sociales : L’utilisation excessive des écrans peut réduire les interactions sociales avec les personnes réelles, ce qui peut entraîner une diminution des compétences sociales et de la capacité à interagir avec les autres dans des situations du monde réel et dans des conditions humaines et normalement universelles.
Effet sur le sommeil : Comme nous l’avons vu précédemment (lire ici : les effets d’une trop grande exposition aux écrans sur le sommeil), l’exposition aux écrans, en particulier avant le coucher, peut perturber le sommeil. Le manque de sommeil de qualité peut entraîner des problèmes de concentration et de mémoire.
Surdosage d’informations : La surcharge d’informations en ligne peut rendre difficile le tri et la mémorisation des informations pertinentes, ce qui peut entraîner une confusion cognitive.
Comportement impulsif : L’utilisation excessive des écrans peut encourager un comportement impulsif, car les récompenses instantanées en ligne sont souvent associées à des décisions rapides plutôt qu’à la réflexion. Sans compter sur la nervosité qu’une coupure contrainte à l’activité en ligne peut induire. De plus en plus de conflits, dans la famille ou dans le cercle amical ou pro. sont dus à cette dépendance numérique et au manque de modération.
Pour prévenir ces effets néfastes sur la concentration et les fonctions cognitives, il est important de mettre en place des stratégies de gestion du temps d’écran, d’établir des périodes de travail ou d’étude sans distraction et de favoriser l’équilibre entre le temps passé devant les écrans et les activités qui stimulent la concentration, la créativité et la réflexion. Il peut également être utile de faire des pauses régulières pendant les sessions d’utilisation d’écrans pour éviter la fatigue mentale. Enfin, il est important de prendre conscience de l’impact de l’utilisation des écrans sur notre propre concentration et de prendre des mesures pour réduire les distractions numériques lorsque cela est nécessaire.
Lire dans ce dossier : Les clés pour limiter son exposition aux écrans
Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription. Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
Risque de dépendance numérique : L’exposition prolongée et l’utilisation excessive des écrans peuvent contribuer au développement de la dépendance numérique, également connue sous le nom de dépendance à la technologie ou cyberdépendance. Ce phénomène est caractérisé par un besoin compulsif d’utiliser des dispositifs électroniques tels que les smartphones, les ordinateurs et les tablettes, au détriment d’autres aspects de la vie quotidienne, y compris le sommeil, le travail, les relations sociales et les activités physiques. Cette exposition aux écrans qui conduit à une cyberdépendance à un impact très néfaste sur le système nerveux en provoquant des symptômes de sevrage, de l’irritabilité, de l’anxiété et d’autres troubles émotionnels… Voici comment l’exposition aux écrans peut contribuer à la dépendance numérique :
Récompenses immédiates : Les écrans offrent souvent des récompenses instantanées sous forme de notifications, de likes sur les réseaux sociaux, de jeux vidéo gratifiants, etc. Cette gratification instantanée peut devenir addictive, incitant les gens à utiliser constamment leurs appareils pour rechercher d’autres récompenses.
Réseaux sociaux et reconnaissance sociale : Les réseaux sociaux peuvent créer un environnement où les individus cherchent constamment la reconnaissance sous forme de likes, de commentaires ou de partages. Cette recherche de validation peut devenir une obsession, incitant à passer de plus en plus de temps sur les réseaux sociaux.
Jeux vidéo et divertissements en ligne : Les jeux vidéo en ligne et d’autres formes de divertissement en ligne peuvent être particulièrement addictifs en raison de leur nature immersive, envahissante, de leurs objectifs à atteindre et de leurs mécanismes de récompense.
Notifications constantes : Les notifications constantes des applications et des réseaux sociaux peuvent rendre difficile de décrocher l’esprit et les yeux de l’écran, car elles attisent la curiosité de savoir ce qu’il se passe et incitent à répondre rapidement à ces notifications.
L’obsession de tout savoir sur tout et tout le monde : La peur de manquer quelque chose en ligne, que ce soit une nouvelle, un événement social ou une opportunité, peut inciter les gens à rester constamment connectés.
Échappatoire au stress : Pour certaines personnes, l’utilisation excessive d’écrans peut devenir une échappatoire au stress ou aux problèmes de la vie réelle, ce qui peut favoriser la dépendance numérique.
Isolement social : Passer trop de temps en ligne peut entraîner un isolement social, car cette exposition et cette dépendance réduit considérablement le temps passé en face-à-face avec des amis et des membres de la famille, de faire des activités ludiques, sportives, artistiques…
La dépendance numérique peut avoir des conséquences négatives sur la santé mentale, les relations interpersonnelles, la productivité et la qualité de vie en général. Pour prévenir ou gérer cette dépendance, il est important de mettre en place des limites d’utilisation des écrans, d’être toujours dans la modération et de rechercher de l’aide si nécessaire, notamment auprès de professionnels de la santé mentale spécialisés dans les dépendances technologiques. Il est également utile de trouver son propre équilibre sain entre l’utilisation des écrans et d’autres activités importantes de la vie quotidienne. Lire dans ce dossier : Les clés pour limiter son exposition aux écrans
Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription. Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
Une trop grande exposition aux écrans peut avoir des effets néfastes sur le système nerveux des enfants et des adultes. Voici quelques-uns des dangers potentiels liés à une utilisation excessive des écrans :
Perturbation du sommeil : L’exposition aux écrans, smartphones, tablettes, ordinateurs et téléviseurs, peut avoir un impact sur le sommeil, en particulier si elle se produit juste avant le coucher. Voici quelques risques potentiels associés à l’exposition aux écrans sur le sommeil :
Perturbation du rythme circadien : La lumière bleue émise par les écrans peut perturber le rythme circadien, l’horloge biologique interne qui régule le cycle veille-sommeil. Cela peut entraîner des difficultés à s’endormir et à se réveiller à l’heure souhaitée.
Difficulté à s’endormir : L’utilisation d’appareils électroniques juste avant le coucher stimule le cerveau, rendant plus difficile l’endormissement. Les activités en ligne, comme la navigation sur Internet ou les réseaux sociaux, les jeux en ligne, les films d’action, dessins animés…excitent et réveillent le cerveau rendant l’endormissement compliqué et souvent impossible pour les personnes les plus sensibles.
Qualité du sommeil altérée : L’exposition aux écrans peut également altérer la qualité du sommeil en réduisant la production de mélatonine, une hormone qui favorise le sommeil. Une exposition prolongée à la lumière des écrans, surtout la nuit, peut supprimer la production de mélatonine, ce qui rend le sommeil moins réparateur.
Sommeil fragmenté : Les notifications constantes des médias sociaux, des SMS ou des mails… peuvent interrompre le sommeil en nous réveillant au milieu de la nuit. Cela peut entraîner un sommeil fragmenté et perturber les cycles de sommeil naturels.
Effets psychologiques : Le contenu des écrans, en particulier s’il est stressant ou stimulant, peut provoquer de l’anxiété ou du stress, ce qui peut également affecter négativement le sommeil.
Pour réduire les risques de perturbation du sommeil liés à l’exposition aux écrans, il est recommandé de mettre en place les conseils suivants : Limiter l’utilisation d’appareils électroniques au moins une heure avant le coucher pour permettre à votre cerveau de se détendre et comprendre qu’il est temps de dormir, de se régénérer. Utiliser des filtres de lumière bleue ou activer le mode nuit sur les appareils pour réduire l’exposition à la lumière bleue en soirée. Éviter de consulter des contenus stressants ou stimulants avant le coucher (même les dessins animés pour les enfant sont à bannir au moins 2h avant leur coucher : les images sont très colorées et rapides ce qui stimule énormément le cerveau). Créer une routine de sommeil régulière en allant se coucher et en se réveillant à la même heure tous les jours, même les week-ends. Créer un environnement de sommeil propice en enlevant toute source d’énergie électromagnétique (réveil, TV, ordi…) et en maintenant la chambre sombre, calme et à une température confortable.
Il est important de noter que l’impact de l’exposition aux écrans sur le sommeil peut varier d’une personne à l’autre. Certaines personnes peuvent être plus sensibles aux effets de la lumière bleue que d’autres. Il est donc important d’apprendre à se connaître, et s’écouter et trouver le bon dosage d’exposition aux écrans en soirée et avant le coucher pour maintenir un sommeil sain et réparateur.
Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription. Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
L’approche holistique pour une meilleure prise en charge de la santé et de l’humain dans sa globalité…
Cette citation reflète une perspective psychologique et holistique sur la santé et la maladie. Elle suggère que les maladies peuvent avoir des origines psychologiques et émotionnelles, en lien avec notre inconscient :
1. Approche psychosomatique : Cette idée est liée à l’idée que nos émotions, nos pensées et nos expériences peuvent avoir un impact sur notre santé physique. Par exemple, le stress chronique peut contribuer à des problèmes de santé comme les ulcères d’estomac ou les maladies cardiovasculaires…
2. Expression de l’inconscient : L’idée que la maladie pourrait être une manière pour l’inconscient de communiquer des problèmes non résolus ou des émotions refoulées est une perspective psychanalytique. Les symptômes physiques peuvent être des manifestations de conflits internes.
3. Symbolisme : L’utilisation du terme « langage symbolique » suggère que les symptômes de la maladie peuvent avoir une signification cachée. Par exemple, quelqu’un qui souffre de maux de tête fréquents peut les interpréter comme étant le reflet de frustrations non exprimées. Cette perspective n’est pas universellement acceptée dans la médecine moderne.
Les maladies ont souvent des causes physiologiques et biologiques bien établies, et les approches psychosomatiques ne sont qu’une partie de l’ensemble des facteurs contribuant à la santé humaine. Il est essentiel de prendre en compte à la fois les aspects physiques et émotionnels de la santé pour une compréhension complète. De cette citation qui soulève des questions intéressantes sur la relation entre l’esprit et le corps, je retiens qu’il est donc crucial d’adopter une approche holistique en matière de santé, en considérant à la fois les aspects psychologiques et physiologiques.Qu’en pense tu ? #citationdujour #naturopathie #santeholistique #espritetcorps #approcheholistique #sanaturopathe #naturopatheenligne
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Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
11 astuces pour une période de rentrée sco. ou pro. en toute sérénité
Ma rentrée sans stress grâce à la naturopathie
La rentrée peut être une période stressante pour de nombreuses personnes, qu’il s’agisse de la rentrée scolaire (surtout avec l’arrivée des premiers contrôles et évaluations pour certains niveaux), de la rentrée au travail ou même de la rentrée après des vacances.
Voici quelques conseils pour vivre une rentrée sans stress :
1. Planifier à l’avance :
– Se préparer en avance en organisant tes affaires, que ce soit les fournitures scolaires, la tenue pour le travail, ou les responsabilités familiales comme les repas (pense au Batch cooking ou l’art et la manière de préparer à l’avance les repas sur une semaine par ex ), ménage, garde des enfants… Plus tu seras préparé e et organisé e, moins tu seras stressé e les premiers jours voir premières semaines de la rentrée.
2. Gère ton temps :
– Établis un emploi du temps ou une liste de tâches pour t’aider à rester organisé et à éviter de te sentir dépassé.
Priorise tes activités pour ne pas te surcharger, veille à bloquer des moments pour toi !
Attention : Etablir un emploi du temps ne veux pas dire s’enfermer dans un tableau et se laisser submerger par le timing que celui-ci impose : Il faut l’utiliser juste comme un outil de visualisation de ses contraintes de la journée, semaine, pour pouvoir se projeter mais sans pour autant stresser si on déborde sur un créneau…
3. Établir des objectifs réalistes :
– Avoir des objectifs c’est très bien, mais il faut qu’il soit à notre portée et qu’ils ne soient pas sources de pression ou de stress :
fixes-toi des objectifs réalistes pour la nouvelle période qui commence.
Ne te mets pas trop de pression en visant la perfection.
4. Évite la procrastination :
– Commence tes préparatifs tôt et évite de remettre à plus tard les tâches importantes.
La procrastination peut augmenter le stress à mesure que la date butoir des tâches à réaliser.
5 – Garde et préserve tes liens sociaux :
– Parle à des amis, des camarades de classes, à des membres de ta famille ou à des collègues de travail pour partager tes préoccupations et obtenir du soutien. Ne reste pas enfermer seul dans une situation qui te dépasse !
6. Faire des exercices de respiration :
– La respiration profonde peut aider à calmer ton système nerveux et à réduire le stress. Prends quelques minutes chaque jour pour pratiquer la respiration profonde en inspirant lentement par le nez, en retenant ton souffle pendant quelques secondes, puis en expirant lentement par la bouche.
Lire + : Dossier « la respiration, c’est la vie »
7. Faire de l’exercice physique :
– L’activité physique régulière est un excellent moyen de réduire le stress. Essaye de faire de l’exercice quelques fois par semaine, que ce soit une bonne promenade, une séance de yoga ou de qi gong, de la natation, du vélo ou tout autre activité que tu aimes.
8. Prendre soin de soi :
– N’oublie pas de prendre du temps pour te détendre. Fais des activités qui te plaisent et te permettent de te ressourcer, que ce soit lire un livre, prendre un bain relaxant, méditer, dessiner…
9. Sois indulgent e envers toi-même :
– Rappelle-toi que tout le monde ressent du stress à un moment donné. Il est normal de se sentir anxieux à la rentrée, mais ne sois pas trop dur envers toi-même. Accorde-toi de la compassion et de la patience.
10. Cherche de l’aide si nécessaire :
– Si ton stress devient accablant et que tu as du mal à le gérer seul e, n’hésite pas à consulter un professionnel qui peut t’aider à développer des stratégies pour faire face au stress.
11. Les plantes anti-stress de la rentrée :
– L’huile essentielle de camomille romaine : lire l’article blog pour connaitre ses bienfaits et les conseils d’utilisation.
– La rhodiole (rhodiola rosea) en plus de lutter contre les états de stress et d’anxiété, elle est tonifiante, fortifiante, augmente les performances mentales et les fonctions cognitives.
En tisane (2g à infuser dans 250ml d’eau, à boire 3 fois par jour) ou en gélules (voir posologie du labo) Lire + ici
– Le ginseng (Panax ginseng ) améliore l’état générale en cas de stress, surmenage, anxiété.. Il stimule également les fonctions cognitives
En tisane (2g à infuser dans 250ml d’eau, à boire 3 fois par jour) ou en gélules (voir posologie du labo)
– L’éleuthérocoque (Eleutherococcus ) augmente la résistance au stress, améliore l’état physique en cas de fatigue, surmenage, anxiété, il augmente aussi la concentration, les performances intellectuelles et la vigilance.
En tisane (2g à infuser dans 250ml d’eau, à boire 3 fois par jour) ou en gélules (voir posologie du labo)
En suivant ces conseils et en adoptant des habitudes de vie saines, tu pourras réduire le stress de la rentrée et aborder cette période avec plus de confiance et de sérénité ce qui t’apporteras un grand confort et une meilleure qualité de vie pour le restant de l’année !
N’hésite pas à prendre un RDV pour une consultation de bilan, qui te permettras d’avoir une meilleure hygiène de vie et de vraies pistes pour passer une année sereine et en pleine conscience.
Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
LES UTILISATIONS ET LES AVANTAGES DE L’HUILE ESSENTIELLE DE CAMOMILLE ROMAINE
Les vertus de l’huile essentielle de camomille romaine sont nombreuses : zoom sur cette huile aux multiples bienfaits et utilisations.
La camomille est l’une des herbes médicinales les plus anciennes, ses premières utilisations enregistrées remontant à 1550 avant JC en Égypte et au 1er siècle après JC en Europe. Les Égyptiens la considéraient comme une plante sacrée.
La plupart des gens connaissent la tisane à la camomille, mais ignorent que les bienfaits de l’huile essentielle de camomille romaine sont encore plus efficaces.
Dans cet article, nous allons aborder les utilisations et les bienfaits de l’huile essentielle de camomille romaine afin que tu puisses ta boîte à outils de bien-être et à ton armoire à pharmacie naturelle.
QU’EST-CE QUE L’HUILE ESSENTIELLE DE CAMOMILLE ROMAINE
L’huile essentielle de Camomille romaine est l’extrait concentré ou essence végétale de la plante Anthenis nobilis L, dont le nom commun est Camomille romaine.
Le nom est dérivé du grec signifiant pomme moulue et du latin nobilis fait référence à des fleurs de nature noble. Pour les Saxons, la camomille était considérée comme l’une des neuf herbes sacrées.
La camomille romaine pousse largement en Europe centrale et orientale ainsi qu’en Angleterre et appartient à la famille des marguerites. La plante atteint 30 cm de haut avec des feuilles en dentelle et de petites fleurs blanches ressemblant à des marguerites. L’huile essentielle de camomille romaine est distillée à la vapeur à partir des fleurs.
L’huile essentielle de camomille romaine possède une note olfactive moyenne à forte avec un parfum qui ressemble beaucoup à celui des pommes et de la paille sucrée mélangées, elle est souvent décrite comme un arôme végétal délicat et sucré, chaud et doux.
LES BIENFAITS DE L’UTILISATION DE L’HUILE ESSENTIELLE DE CAMOMILLE ROMAINE
Bien que mieux connue pour ses effets sédatifs et calmants, les bienfaits de l’huile essentielle de camomille romaine sont nombreux, allant de l’apaisement des problèmes digestifs à la cicatrisation des plaies.
1 – Fournit un soulagement del’anxiété et de la dépression.
Elle est utilisée comme sédatif léger pour calmer les nerfs, combattre la dépression et réduire l’anxiété. L’inhalation directe d’huile essentielle de camomille romaine est un moyen idéal et rapide de soulager les symptômes d’anxiété.
2 – Apaise les courbatures et les symptômes du syndrome prémenstruel.
Grâce à ses propriétés antispasmodiques, l’huile de camomille romaine apaise les courbatures, les maux de tête, les maux de dos et les crampes menstruelles.
3 – Réduit l’insomnie et favorise la relaxation.
Avec des effets calmants et sédatifs, la camomille romaine favorise la relaxation et soulage les tensions favorisant un sommeil réparateur.
4 – Apaise l’arthrite et les douleurs articulaires.
L’huile essentielle de camomille pénètre sous la surface et profondément dans les couches de la peau. Elle est anti-inflammatoire topique naturel qui peut traiter efficacement les douleurs liées à l’arthrite et aux douleurs dans le bas du dos, les poignets, les doigts, les genoux, etc.
5 – Répare les problèmes de peau et favorise une peau saine.
L’huile essentielle de camomille romaine possède des propriétés antibactériennes et antimicrobiennes. C’est un remède naturel contre la goutte, l’eczéma, les ulcères, les chancres, les brûlures, les éruptions cutanées, et autres irritations cutanées.
6 – Soulage les sensations de nausées et les inconforts gastro-intestinaux.
L’huile de camomille romaine contient des composés anodins qui sont antispasmodiques, ce qui en fait un traitement naturel pour les problèmes digestifs, notamment les fuites intestinales, les gaz, l’indigestion, le reflux acide, la diarrhée et les vomissements.
7 – Réduit l’inflammation.
La camomille romaine a un effet anti-inflammatoire similaire à celui des anti-inflammatoires non stéroïdiens (tels que l’ibuprofène). Elle aide à réduire l’inflammation
8 – Favorise la santé cardiaque.
L’huile essentielle de camomille romaine contient des niveaux élevés de flavonoïdes, qui réduisent considérablement les troubles dus aux maladies coronariennes (en cas de prise interne. Consulte un aromathérapeute professionnel avant d’essayer d’ingérer une huile essentielle et demande l’avis de ton médecin). Il a un effet relaxant sur le cœur et contribue à abaisser la tension artérielle.
9 – Apaise les allergies.
La camomille romaine est traditionnellement utilisée pour traiter le rhume des foins en raison de ses propriétés antioxydantes et antimicrobiennes. Elle aide à soulager la congestion du mucus, les enflures et les poussées cutanées associées aux symptômes d’allergies saisonnières et aux allergies alimentaires.
10 – Traite le rhume, le mal de gorge et l’enrouement.
Grâce à ses propriétés antibactériennes et antimicrobiennes, l’huile essentielle de camomille romaine est efficace pour traiter le rhume ainsi que les problèmes de gorge.
11 – Calme et apaise les enfants.
Depuis des milliers d’années, l’huile essentielle de camomille romaine est utilisée chez les enfants en raison de sa douceur et de son absence d’effets secondaires. Elle est excellente pour apaiser les enfants atteints de TDA et de TDAH ainsi que les enfants autistes ou ayant un spectre de l’autisme.
12 – Lutte contre le cancer.
Des études ont montré que le traitement à l’extrait de camomille réduisait la capacité des cellules cancéreuses à développer des vaisseaux sanguins nécessaires au maintien de la tumeur en vie.
L’exposition à l’extrait de camomille induit l’apoptose (auto destruction) des cellules cancéreuses, mais pas des cellules normales.
Utilisation et Indication de l’huile essentielle de camomille romaine :
En diffusion ou inhalation : Pour soulager l’anxiété, le stress et les tensions et aider à atténuer la dépression.
Pour favoriser un sommeil profond et réparateur et atténuer les nausées.
En synergie avec l’huile essentielle de lavande fine pour une diffusion nocturne.
En massage : Elle peut réduire l’inflammation, soulager les douleurs musculaires et articulaires ainsi que les douleurs arthritiques. Soulage les irritations de la peau, l’eczéma, l’acné, la goutte, les plaies, les brûlures, les éruptions cutanées, etc.
Dans le bain : Elle réduit l’inflammation et les symptômes du syndrome prémenstruel, soulage les crampes musculaires et réduit les douleurs articulaires, libère les tensions, le stress et l’anxiété et calme l’ensemble du système favorisant un état de repos profond.
Conseils d’utilisation Diffusion – Ajoute 5 à 7 gouttes au diffuseur. Diffuse trois fois par jour.
Inhalation – Inspire directement à partir du flacon pour une action rapide pour combattre les sentiments d’anxiété et de dépression ou pour calmer les sentiments de frustration ou de colère.
– Inspire à partir du flacon pour combattre rapidement les sensations de nausée.
– Ajoute 6 à 8 gouttes dans un bol d’eau bouillante ou un vaporisateur pour le visage, inspire lentement et profondément pendant 5 à 10 minutes.
– Place 1 à 2 gouttes sur l’intérieur des poignets et inspire lentement pendant 30 secondes.
En massage – Pour les problèmes digestifs, masse avec 5 gouttes d’huile essentielle de camomille romaine directement sur l’abdomen.
– Pour les affections cutanées, mettre 3 gouttes sur un coton et appliquer sur la zone concernée ou ajouter 5 gouttes à ta crème quotidienne pour le visage.
– Applique 5 gouttes directement sur le cœur et frotte légèrement pour favoriser la santé cardiaque.
– Ajoute 5 gouttes à 20 ml d’huile végétale (de nigelle idéalement) et utilise le mélange pour le masser les zones douloureuses, inflammatoires (articulations…).
– Appliquer sur la plante des pieds au coucher pour favoriser le sommeil.
Interne – Toujours demander conseil à votre praticien en aromathérapie et à votre médecin (il peut y avoir des interactions médicamenteuses : ATTENTION)
Précaution d’emploi
Interdite aux femmes enceintes de moins de 3 mois ainsi qu’aux enfants de moins de 3 mois.
Si tu es enceinte, allaitante ou sous traitement médical, consulte ton médecin.
Éviter tout contact avec les yeux, les oreilles internes et les zones sensibles.
Garder hors de la portée des enfants.
Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.
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