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Stimuler les hormones du bien-être, de l’amour, du bonheur…

by 7 février 2020

Hormones du bien-être, du plaisir, du bonheur, de la zénitude

14 astuces pour booster tes hormones du bien-être, du bonheur, pour retrouver la bonne humeur, la joie de vivre, l’envie d’aimer et d’être aimer, l’envie de te bouger, de créer, de te dépasser…
Retrouve la positive attitude !

Les hormones : c’est quoi ? Pourquoi faire ?
Hormone (du grec hormân, exciter) = « substance sécrétée par une glande endocrine, libérée dans la circulation sanguine et destinée à agir de manière spécifique sur un ou plusieurs organes cibles afin d’en modifier le fonctionnement » (source le Larousse).

Les hormones sont donc des messagers chimiques produits par les glandes endocrines.
Elles ont un effet sur l’ensemble du corps et sur certaines fonctions comme la croissance, le développement cérébral, la reproduction, le stress, l’anxiété…

A lire sur le blog : 10 astuces pour lâcher-prise

@Metabolic Research Center

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@Aphadolie

Dopamine, ocytocine, sérotonine, endorphine, auxquelles nous pouvons ajouter les œstrogènes t la progestérone, sont des substances chimiques dites endogènes (elles sont produites par l’organisme).
Ces hormones jouent un rôle primordial dans notre positive attitude, notre perception du bien-être, du bonheur, du lâcher-prise…
Le taux de ces hormones dans notre organisme dépend de nos gênes mais également de nos activités physiques et psychiques : chacune d’elles est liée à une émotion positive et est sécrétée dans une situation particulière.
A partir de ce constat, nous pouvons alors stimuler la sécrétion de ses hormones pour plus de bien-être au quotidien !

1 – La Dopamine : Plaisir, créativité et courage

La dopamine est sécrété lorsque le cerveau capte un sentiment de plaisir , et gère le système de récompense de celui-ci : Manger un morceau de chocolat, gagner à un jeu, achat, recevoir un cadeau, avoir un résultat positif à une épreuve…
Le plaisir ressenti permet donc la sécrétion de dopamine, qui en plus de cette forte sensation de plaisir, d’enthousiasme, va donner l’envie de créer, de relevé des défis, de procéder à de nouvelles expériences.
Le plaisir atteint par cet élan de créativité, par la concrétisation de projet… va permettre de toujours plus sécréter de la dopamine, donc plus de plaisir, plus d’envie de faire des choses et ainsi de suite.

Les personnes en manque d’enthousiasme, en procrastination constante ont un faible niveau de dopamine !

2 – L’ocytocine : L’hormone des relations (intimes ou sociales)

Appelée très souvent l’hormone de l’amour, l’ocytocine joue un rôle essentiel dans le maintien, l’équilibre et la gestion de nos relations : Amour, amitié, relations entre collègues…
Cette hormone du bonheur, de l’amour est sécrétée par des moments de relations tactiles ou psycho-émotionels positifs : câlin, embrassades, compliments donnés ou reçus, recevoir ou offrir un cadeau, recevoir ou appeler une personne chère à notre cœur…
L’ocytocine crée en nous un sentiment d’amour, de confiance, d’intimité, de bienveillance qui fait énormément de bien à nous même et qui facilite également la relation avec l’autre/les autres. Elle nous permet de partager et de recevoir plus aisément.

Tu veux recevoir et offrir de l’amour alors shoote toi à l’ocytocine : Prends dans tes bras ton conjoint, tes enfants, tes animaux, taux niveau d’ocytocine sera booster !

A lire sur le blog : Soyez heureuse/x c’est bon pour la santé

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3 – L’endorphine : Bien-être et lâcher-prise

Cette hormone procure un sentiment de zénitude, de calme, de paix intérieur, de bien-être voir même d’euphorie (les grands rieurs se reconnaîtront). Ainsi, l’endorphine permet de réduire le stress, l’angoisse et l’anxiété, et même la douleur !
L’endorphine est sécrétée par le rire (le moyen le plus facile et le plus rapide de booster cette hormone du bien-être) mais aussi par un effort constant : vélo, natation, footing…
L’endorphine est l’hormone à booster en cas de stress chronique ; Tu comprends maintenant pourquoi on dit  que le sport détend et diminue le stress, c’est à cause de cette sécrétion d’endorphine.

Une bonne comédie, ou une séance de yoga du rire (oui ça existe) te permettra de lâcher prise rapidement !

4 – La sérotonine : l’hormone de la bonne humeur !

Dépression, irritabilité, nervosité excessive, impulsivité sont souvent le signe d’un faible niveau de sérotonine !
Cette hormone est sécrétée lorsque nous éprouvons un sentiment de valorisation personnelle, de reconnaissance, de bonne estime de nous-même.
Tout comme l’endorphine, la sérotonine est boostée par l’activité physique et/ou sportive. Elle est également stimulée par une exposition au soleil mais aussi par l’appréciation par soi-même de ses propres valeurs : Prends le temps de te poser, de visualiser ce que tu as accomplis dans la journée, le mois, l’année et apprécie ce que tu as fais !
Inutiles de voir les choses en grand !
Apprécie les petites choses du quotidiens, apprécie toi à ta juste valeur et ta sérotonine sera booster !

5 – Les œstrogènes 
Complice de la sérotonine, puisque elles aident à la sécréter, les œstrogènes à taux suffisant permettent également de diminuer le stress, l’anxiété et l’irritabilité. Produite par les ovaires, la sécrétions d’œstrogènes diminue naturellement à la ménopause, tu comprends pourquoi les femmes qui vivent cette période de leur vie sont souvent irritables et de mauvaise humeur.

6 – La progestérone
Également produite par les ovaires (par le corps jaune des ovaires plus précisément) et par le placenta, cette hormone aide à mieux dormir, à diminuer les variations d’humeur, le stress, l’irritabilité et l’anxiété.
Cette hormone est également e baisse dès la ménopause.

A noter : Le déséquilibre entre œstrogène et progestérone peut également affecter l’humeur, la positive attitude et le bien-être en général !

A lire sur le blog :
Pensée positive : 16 astuces pour avoir la Positive Attitude

14 astuces pour stimuler les hormones du bien-être et du bonheur :
– Écouter des sons et mélodies douces, lentes et apaisantes booste la dopamine
– 10 min de marche rapide par jour a un effet stimulant des hormones du bien-être et du bonheur surtout l’endorphine et la sérotonine.
– Manger des céréales complètes augmente la sérotonines
– Passer du temps avec les personnes qu’on aime, booste l’ocytocine
– Pratiquer des activités relaxantes comme le yoga et la méditation stimule la production d’œstrogènes
– S’éloigner des perturbateurs endocriniens

Naturotech

@Naturotech

– S’exposer au soleil, en hiver profiter de la luminothérapie pour faire le plein de lumière.
– Sortir au grand air : faire des balades en forêt, sur la plage…
– Avoir un bon sommeil
– Avoir une activité physique ou sportive régulière : 30 min de marche quotidienne ou 3 fois par semaine par exemple, vélo, natation, course…
– Prendre le temps de bien manger et de bien mastiquer pour envoyer les bonnes informations au cerveau : stimulation de l’hormone de plaisir, la dopamine
– Avoir une bonne hygiène alimentaire, bio de préférence
– Rire : rire favorise la sécrétion d’endorphine
– Faire des exercices de détente : relaxations, yoga, méditation, massage …

Certaines personnes auront besoin d’avoir une aide professionnelle pour booster les niveaux de ses hormones et sortir de situation comme la dépression par exemple !

La parole est à toi : Quelles sont tes astuces pour booster tes hormones du bien-être ? RDV en commentaire pour partager ton expérience.

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Encas Healthy : Barres au Granola

by 15 janvier 2020

Un encas, Oui ! Mais un encas sain !

Riches en antioxydants, ces barres de céréales home made, sont aussi gourmandes que délicieuses. Nutritives, elles sont l’encas idéal pour les grands comme pour les petits…

Pour 12 barres


200 g de flocons d’avoine
200 g de dattes séchées hachées
100 g de figues séchées hachées
75 g de baies de goji
75 g de myrtilles séchées
75 g de raisins secs
2 cuill. à soupe de graines de lin fraîches
1 pincée de cannelle
1/2 cuill. à café d’extrait de vanille
1/2 cuill. à soupe de maca en poudre
2 cuill. à soupe de graines de potiron fraîches
1 cuill, à soupe de sirop d’agave

Préchauffez le four à 150 °C
Étalez les flocons d’avoine sur une grande plaque et enfournez 20 minutes, en remuant toutes les 5 minutes, jusqu’à ce qu’ils soient dorés, Sortez la plaque du four et laissez refroidir.

Mettez les les figues et les dattes dans une casserole et recouvrez d’eau au double de la hauteur des fruits secs. Portez à petite ébullition et faites cuire environ 45 minutes, en remuant de temps en temps et en rajoutant un peu d’eau si besoin. Cette préparation est la base des barres qui doit être molle et humide : Le temps de cuisson dépend du moelleux initial des fruits : plus ils sont secs, plus il faut les cuire longtemps.
Retirez du feu dès l’obtention d’un sirop épais.

Ajoutez les baies de goji, les myrtilles, les raisins secs et les graines de lin, puis laissez reposer 10 minutes pour que les baies s’imprègnent de sirop.

Ajoutez la cannelle, l’extrait de vanille, la maca, les graines de potiron et le sirop d’agave. Procédez par petites quantites, en remuant après chaque ajout, pour être sur de bien mélanger.

Étalez la préparation sur une grande plaque en couche uniforme d’environ 1,5 cm d’épaisseur.
Faites cuire de 15 à 20 minutes. jusqu à ce que la surface soit bien dorée.
Sortez du four et coupez en 12 barres, dès qu’ils ont suffisamment tiédis, pour les manipuler, posez-les sur une grille en les retournant et laissez refroidir complètement.

 ☺Les barres sont à conserver à l’abri de la lumière et de la chaleur, les placer dans une boite hermétique pendant une bonne semaine.
 ☺Vous pouvez ajouter des oléagineux selon vos goûts et vos envies

Je suis la douleur, et j’ai des choses à te dire…

by 13 janvier 2020

Je suis la douleur…et j’ai des choses à te dire

Confidences, aveux, il est grand temps pour moi que je m’explique, que je me présente ! Suis-je une amie ou une ennemie ? Dois tu me craindre ou m’utiliser ?

Je suis la douleur,
Redoutée, détestée, diabolisée, je sais que personne ne m’aime, mais pour être utile on n’a pas besoin d’être aimée !
Parce que oui je suis utile : Je suis la preuve de la présence de vitalité, d’un système d’auto-défense dans l’organisme.
Je suis le signal d’alarme qui t’indique que quelque chose ne va pas.

Trop souvent mal comprise, on cherche à me faire taire sans chercher à me comprendre. Si je suis là, si je m’installe en toi, c’est qu’il y a une cause. En cherchant à me supprimer, sans réparer la cause, tu ne fais, en fait, que m’étouffer, et la raison ,pour laquelle j’ai été déclenchée, va s’amplifier, s’aggraver.
Aurais tu idée de couper une alarme incendie ou la couvrir pour qu’elle fasse moins de bruit. Non !
Et bien il en est de même avec moi, utilise moi pour aller mieux, pour te réparer, pour mettre en lumière tes vrais problèmes.

N’oublie pas, la seule alarme qu’on ait le droit de couper sans chercher à comprendre, c’est celle du réveil, le matin !


Sana

Je suis là dès qu’il y a un danger pour toi (douleur aiguë) ! Imagine que ta main approche d’une source de chaleur, s je ne me manifeste pas, tu t’approcherais trop près de cette source et tu te brûlerais grièvement.
Je suis également là en cas de traumatisme (choc, fracture, chute, égratignure, plaie…), et je reste présente jusqu’à totale guérison également pour te protéger et t’inciter à la prudence. Je suis également la preuve qu’un processus vivant de tes tissus est en marche pour te permettre de te rétablir.

Souvent, (douleur chronique) je suis également le signe que ton organisme subit des troubles, un dérèglement, souvent un trop de déchets que tu n’as pas évacué et qui sont venus encombrer tes organes, tes tissus, mais aussi tes fluides peuvent être trop acide, ce qui créer également des douleurs, alors ne me supprime pas purement et simplement, essaye de me comprendre.
Ses troubles proviennent la plupart du temps d’une mauvaise hygiène de vie générale : alimentation, sédentarité, surpoids…

Dans d’autre cas, je suis l’interprétation physique d’une douleur psychique trouble psycho-émotionnel comme par exemple le stress nuit à l’estomac. (conflit intérieur, deuil, angoisse, dépression, accident, perte d’emploi…). N’as tu jamais entendu parler de la somatisation. Dans ce cas également, il ne s’agit pas de dire, c’est dans la tête, mais bien de régler les problèmes de fond, pour me faire disparaître.

Bien évidemment, je ne cherche pas à te convaincre que je suis bonne pour toi et que tu dois te laisser souffrir, bien sûr que non !
Personne ne devrait souffrir.

Alors même si je ne suis pas ton amie, je peux au moins être ton alliée ! Ne me néglige pas et utilise moi pour comprendre ce qui se passe dans ton corps et donc qui m’a permis de me déclencher et pour me faire taire de façon raisonnée, réfléchie, rationnelle et surtout durable, en agissant ainsi tu ne feras pas que juste m’étouffer, m’ensevelir sous une tonne d’anti-douleur, mais tu feras en sorte que l’alarme se coupe d’elle même car il n’y a plus de danger.

J’aimerais aussi préciser que chaque individu, chaque personne, quelque soit son âge, son sexe, sa fiabilité physique, a une perception, une sensibilité différente à mon égard. Pour certaine personne à un moment donné ou pour la même maladie, je serais tolérable pour certain, pour d’autre pas du tout. Il ne faut surtout pas juger une personne qui dit souffrir, il faut l’écouter, la soutenir, la diriger vers les personnes qui la comprendront et qui feront en sorte qu’elle aille mieux.

Comprenons nous ; Je suis désolée d’être moi, mais en même temps, je suis satisfaite de savoir que grâce à mes alertes, tu peux éviter bien des accidents et maladies graves…

Lis la suite pour mieux me comprendre.

Qui suis je ? Pourquoi je me manifeste ?

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Je suis une sensation désagréable qui peut être de diverses intensités. Je peux être supportable mais aussi très invalidante et perturber les activités du quotidien et le bien-être en général.
Moi, la douleur, je peux être là, en toi, de façon aiguë et de courte durée mais aussi de façon chronique et durer dans le temps, comme je peux être localisée comme diffuse à différents endroits à la fois.

On me définit à travers 3 types :
La douleur par excès de nociception :
C’est ma version la plus courante et c’est là où je remplis pleinement ma fonction d’alarme. Je suis la douleur due à un traumatisme (chocs, coupures, brûlures, fractures, foulures…) ou à une inflammation (abcès, appendicite, conjonctivite…), je me déclenche quant il y a une agression externe ou interne (comme c’est le cas en cas de cancer). Dans cette version, si on ne traite pas la cause je peux être à l’origine de ma version chronique.
Techniquement j’interviens quant je suis trop forte, l’information transmise est assez forte pour arriver rapidement au cerveau (phase aiguë)

La douleur neurogène
On dit de moi que je suis neurogène ou neuropathique, quant je suis liée à un mauvais fonctionnement du système nerveux : je surviens suite à une lésions des nerfs ou du système nerveux central (cerveau, moelle épinière).
Dans cette version, je me manifeste par des fourmillements, de picotements, des sensations de brûlures, de gonflement, d’écrasement, de décharges électriques.
Mes épisodes peuvent être brutaux, temporaires et épisodiques ou continues.
Je ne suis pas forcément provoquée par un stimuli habituel (pression, frottement…), je peux très bien apparaître juste par le contact des vêtements avec la peau, un courant d’air…
Le froid et/ou les émotions suffisent parfois à me déclencher ou me réveiller.
Je peux t’envoyer un signal en cas de traumatisme mal guérit ou en cours de guérison (choc, blessure) ou en cas d’apport insuffisant d’oxygène (AVC, Compression d’un nerf) en cas d’infections, de maladie métabolique comme le diabète, d’une intoxication (par exemple suite à la prise de médicaments forts ou non adaptés)

La douleur psychogène
Moi, la douleur, je peux être enclencher par des troubles psychiques. Je suis assez difficiles à cerner dans ce cas là car je ne suis pas présente à cause d’une lésion d’un organe mais je suis là pour traduire une douleur, une souffrance non suivie, non soutenue de la sphère psychique et psycho-émotionnelle. Attention bien souvent je suis comprise de travers : si je suis en toi depuis longtemps et que je t’éprouve déjà depuis un certain temps, je peux te mener vers un mauvais état psychique : la dépression. D’où l’importance de bien chercher ma cause, d’où je viens !
Je suis bien réelle est pas seulement dans ta tête : sensation d’étouffement, spasmes musculaires, palpitations, douleurs d’estomacs, spasmes intestinaux, migraines, mal de dos…

Mes autres versions :
Les douleurs dues aux soins médicaux : effets secondaires des traitements parfois lourds (chimio…), suites d’interventions chirurgicales, des soins…
Les douleurs cancéreuses : Je regroupe ici mes trois formes les plus courantes à la fois : nociceptive, neurogène et psychogène, je réagit donc en phase aiguë mais aussi de façon chronique.

Conclusion :
Bien évidemment seul ton médecin traitant pourra poser un diagnostic sur la cause de la douleur, mais ton/ta naturopathe travaillera avec ce diagnostique en complémentarité, pour chercher les causes profondes de ma présence (la douleur), et t’accompagner à faire les changements nécessaires pour m’éteindre de façon durable.
Le/la naturopathe travaillera sur ton alimentation, sur la gestion de la sphère psycho-émotionnelle, sur ta sédentarité ou définira avec toi des exercices ciblées en fonction de ma localisation, du pourquoi je suis là. Il te conseillera également des exercices de respirations, il pourra faire le point sur tes carences, te conseiller des plantes…Bref il/elle te donnera tout un programme d’hygiène vital pour que tu puisse avoir une meilleur qualité de vie et t’accompagner vers le chemin du mieux être.

 

Source :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2841547/
https://www.inserm.fr/information-en-sante/dossiers-information/douleur
http://www.chu-rouen.fr/page/detail/fr/PUB_1848

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Gérer la gastro entérite chez les enfants

by 8 janvier 2020

La gastro & les enfants : une attention particulière

Gastro & enfants : Vous venez de lire (ou pas) l’article : Gastro-entérite : la naturopathie à la rescousse
Les enfants demandent une attention particulière et une grande vigilance (tout comme les personnes âgées et les personnes dont l’immunité est fragile).
Dans cet article, je vous propose 5 conseils pour gérer la gastro chez les jeunes enfants.

Rappel : La gastro, c’est quoi ?

(lire ou relire Gastro-entérite : la naturopathie à la rescousse)

La gastro est une infection du tube digestif et des intestins qui est très souvent causée par un virus, comme le rotavirus, astrovirus ou encore l’adénovirus entérique (ou une bactérie de type Salmonelle, Escherichia coli par exemple).
Les symptômes les plus courant sont : des nausées et vomissements, des diarrhées qui peuvent durer plus de 10 jours, des douleurs et spasmes abdominaux, de la fièvre…

Pourquoi une attention particulière pour l’enfant ?

La gastro est une maladie très contagieuse. Chez l’enfant , elle est très courant et, le plus souvent, c’est le rotavirus qui en est responsable.
Les nourrissons de moins de 2 ans y sont très sensible, un pic de contagion est observé entre 6 et 12 mois.
Les douleurs abdominales sont très douloureuses et l’enfant est très fatigué, il ne joue plus, n’a plus d’appétit…
Mais le risque majeur, chez le jeune enfant, c’est la déshydratation avec une grosse perte donc en eau mais aussi en nutriments, sels et minéraux.

En tant que parents, on se doit d’être vigilent et de porter une attention toute particulière, tout en restant calme. Autant la Gastro peut être violente, autant des solutions naturelles existent pour prévenir, soulager votre bébé en cas de contamination et réduire la gravité de la diarrhée

Comment reconnaître un bébé déshydraté ?

Une déshydratation moyenne : Constatation d’une perte de poids de 7 à 10%. Les yeux et la fontanelle sont creux.
Les muqueuses de bébé sont sèches, moins d’urine et lorsque l’on pince la peau, le pli reste en place quelques instants.
Une déshydratation grave : perte de poids supérieure à 15%, conscience perturbée avec malaise et étourdissement. L’enfant est très faible, il dort beaucoup, gémit.
Il a une chute de tension, devient bleu, il a un pouls rapide et a des sueurs

La prévention, encore et toujours…
Comme nous l’avons vu, la gastro est courante chez les enfants, agir en prévention est donc la meilleur prévention pour préserver nos petits de cette maladie.
Note : L’allaitement maternel est un excellent remède de prévention pour votre bébé, si vous allaitez, continuez ! (lire : Dossier ; l’allaitement maternel, tout un art)
– Toute la famille se lave régulièrement les mains avec de l’eau et du savon, surtout après être aller aux toilettes et après manger
– Se laver les mains avant de vous occuper de votre bébé et après avoir changer sa couche
– Utilisation de couverts, vaisselles, linge de maison séparés
– Nettoyez régulièrement vos surfaces avec des solutions désinfectantes.
– En cas de présence de personnes atteintes par la gastro, isolez votre enfant pour éviter qu’il soit contaminer
– Inversement s’il est déjà contaminé, isolez le pour qu’il ne contamine personne. Ne le mettez pas en crèche/garderie…Gardez le à la maison jusqu’à ce qu’il soit rétablit et que le pic épidémique soit passé.
– Nettoyé immédiatement son vomi pour éviter la propagation du virus/bactéries.

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En cas de déshydratation:
L’une des principales préoccupations des enfants atteints de gastro, en particulier les jeunes enfants ou les bébés, est le risque élevé de déshydratation. 
Avec des selles liquides et / ou des vomissements fréquent et une consommation réduite d’aliments et de boissons, la perte de liquides chez leurs petits corps est très rapide.

Soyez vigilants et recherchez les signes et les symptômes de déshydratation de votre enfant: (voir plus haut) :
Bouche et / ou langue sèche
Ne pas uriner ou a des couches sèches
Les yeux semblent enfoncés
Les mains et les pieds sont froids, ou leur corps peut même être légèrement en sueur
Semble plus somnolent que d’habitude
Agité, léthargique et / ou irritable

Stratégie d’hydratation :

– Donnez régulièrement, à votre enfant, des liquides : eau, tisanes (non sucrée)
– Continuez à allaiter votre bébé selon votre routine habituelle, ou fractionez s’il n’a pas la force de téter.
– Allez en pharmacie et acheter une solution d’hydratation avec sel et minéraux.
Offrez à votre enfant un verre chaque fois qu’il vomit ou après chaque accès de diarrhée : même en petite gorgée. Si les vomissement sont fréquent proposez lui touts les quart d’heure : faites le boire à la petite cuillère s’il le faut.
Préparez des gelées apaisantes pour les intestins – la gelée contient une grande quantité d’eau et est apaisante et douce pour les intestins enflammées des enfants pendant la gastro :
Mélangez 1½ tasse d’eau ou de solution hydratante pour bébé avec ½ tasse de jus de fruits non sucré (pas de jus d’orange, idéalement de pomme, ça passe bien en général)
Ajoutez de la gélatine végétale et remuez jusqu’à dissolution
Versez le liquide dans une plaque à pâtisserie tapissée ou de petits moules et mettez au réfrigérateur pour prendre (faites prendre quelques heures).
Donnez à votre enfant de petits carrés ou un peu de gelée moulée plusieurs fois par jour  
– Faites lui boire l’eau de cuisson du riz blanc et carottes.

Côté alimentation :
La plupart des enfants n’auront pas d’appétit pendant leur gastro surtout en phase aiguë. Lorsqu’il commence à montrer de l’intérêt pour la nourriture, respectez ces quelques consignes, et réintroduisez l’alimentation en douceur.
– Proposez lui du riz blanc et des carottes cuites surtout s’il a encore des diarrhée (donnez lui l’eau de cuisson s’il ne veut toujours pas manger).
– Pas d’aliment gras ou trop sucrés, il en va de même pour les boisson, pas de jus encore moins de soda.
– Pas de produits laitiers, ils aggravent les symptômes de la gastro et entretiennent l’inflammation des intestins
– Idem pour le gluten, choisissez des céréales sans gluten
– Faites lui des soupes (pas d’épices)
– Faites lui boire un bouillon de carcasse de volaille (booster l’immunité et soulage l’inflammation)

Les plantes en soutien :
Voici une petite sélection de plantes douces que vous pouvez utiliser pour soulager bébé de la gastro : Faites lui des tisanes et proposez-lui d’en boire de temps en temps.
La camomille, la mélisse, le fenouil, la menthe la feuille de framboisier, la calendula, la racine de guimauve pour leurs propriétés apaisante et astringentes.
N’hésitez pas à vous adresser à votre pharmacien ou herboriste qui vous fera le mélange adéquat de ces herbes.
PS : la cannelle peut être utilisée à toute petite dose pour diminuer les diarrhées.

Après la gastro :
– Continuez la réhydratation
– Réintroduire une alimentation saine ou un allaitement régulier, allez y progressivement, proposez lui des aliments digests et cuits.
– Utiliser des probiotiques pour restaurer la flore intestinale (demandez conseil à un professionnel)
– Laissez votre enfant se reposer, il a besoin de récupérer, s’il ne veut pas jouer, laissez le. Gardez le dans un endroit calme.

Quand consulter le médecin ?
Quand la gastro est là mieux vaut toujours consulter son médecin (surtout quand les personnes âgées, enfants en bas âge, ou personnes fragile sont atteints). Quoi qu’il en soit et en règle générale, en suivant ces quelques recommandations, l’organisme d’un enfant gère assez bien la gastro entérite, et les symptômes diminuent à partir du 3ème jours , cependant n’hésitez pas à consulter si vous douter sur la santé ou le bien-être de votre enfant ou si les symptômes persistes au delà de 3-4 jours sans signes d’améliorations :
– Signes et symptômes de déshydratation (voir ci-dessus)
– Vomissements persistants
– Nombre et volume élevés de selles produites chaque jour (> 8 par jour)
– Douleurs abdominale intolérable
– S’ il y a du sang dans les selles

Conclusion :
Comme pour les adultes, les vomissements et la diarrhée permettent d’expulser hors de l’organisme les toxines, virus, bactéries. Il ne faut pas forcément lutter tout de suite contre ces symptômes donc. Toutefois, consultez un médecin permet de se rassurer, en tant que parents, ce n’est pas évident de voir son enfant dans cet état, d’avoir un avis médicale sur la conduite à tenir et surtout être sûr que l’enfant ne soit pas en déshydratation.
Stimuler l’immunité de votre enfant en amont, en prévention de la période hivernale, est très judicieux pour lui éviter bien des maladies.


Précédent : Gastro entérite : la naturopathie à la rescousse

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Gastro-entérite : la naturopathie à la rescousse

by 8 janvier 2020

Gastro entérite : des solutions naturelles pour prévenir et soulager

La gastro-entérite est une maladie très redoutée en cette période de l’année. Et ça y est , elle est bien là !
Appelé également grippe intestinale, peut être dangereuse pour les personnes âgées, les enfants en bas âge, et les personnes ayant une immunité déjà affaiblie : maladie chronique, fin de grippe, rhume…
La prévention est donc de mise !

Qu’est ce que la Gastro-entérite ?

La gastro c’est une inflammation de l’ensemble du tube digestif, comprenant estomac et intestins. Cette inflammation provoque différents symptômes plus déplaisant les uns que les autres :
Le plus souvent
– Diarrhées
– Vomissements
– Douleurs et crampes abdominales

D’autres symptômes peuvent également se manifester :
– Nausées
– Fièvre
– Douleurs musculaires
– Frissons
– Déshydratation
– Perte d’appétit

La gastro de type virale est la plus fréquente, elle est provoquée par différent type de virus comme le rotavirus, astrovirus ou encore l’adénovirus entérique.
Les formes sévères de gastro-entérite sont très souvent observées chez les personnes fragiles(les enfants très jeunes et les personnes âgées, sont à surveiller de très près.).
Même si pour la plupart des personnes , la gastro ne dure que quelques jours, une consultation médicale n’est pas forcément nécessaire, toutefois si les symptômes persiste, RDV chez votre médecin qui pourra vérifier si le problème n’est pas plutôt d’origine bactérienne (salmonelle, colibacilles par exemple)

La prévention avant tout !

En naturopathie, la prévention est une priorité. En période d’épidémie, des gestes simples peuvent vous permettre de passer à côté de la gastro ou d’en limiter les effets :
– Laver vous les mains régulièrement à l’eau et au savon : avant de manger ou de préparer à manger, après être passé aux toilettes, si vous avez été en contact avec une personne malade
– Éviter au maximum le contact avec les personnes déjà atteintes par la gastro-entérite : éviter le contact physique direct mais également éviter de boire ou manger après elle, éloigner votre brosse à dent de la sienne, ainsi que votre linge de maison (serviettes…)
– Laver soigneusement vos fruits et légumes
– Avoir une alimentation, saine et équilibrée, bio ou de qualité.
– Se supplémenter en vitamine D et C pour renforcer le système d’auto-défense de l’organisme (demander conseil à un professionnel)
– En période d’épidémie, aérez bien votre intérieur et dans la mesure du possible assainissez l’air à l’aide d’huiles essentielles en diffusion
Ma synergie préférée pour assainir l’air:
20 gouttes d’HE bio de pamplemousse
20 gouttes d’HE Bio de ravintsara
20 gouttes d’HE bio d’eucalyptus globulus
20 gouttes d’HE bio de citron

huile essentielles gastro

Attention l’utilisation des huiles essentielles n’est pas sans risque : ne jamais diffuser cette synergie d’huiles essentielles en présence de femmes enceintes ou allaitantes, en présence d’enfant de moins de 6 ans. Un avis médical est à demander en cas de personne asthmatiques et épileptiques.

Autres conseils et pas des moindres : renforcer son immunité et sa résistance aux virus et bactéries.
– Le bourgeon de cassis est indiqué pour renforcer notre résistance à la gastro mais aussi à toutes les maladies hivernales car il va renforcer l’organisme en profondeur et l’aider à résister aux agresseurs grâce à ses propriétés antibactériennes et antivirales
15 à 30 gouttes le matin (pour les enfants 1à 2 gouttes de poids, 5 pour les femmes enceintes)

– L’extrait de pépins de pamplemousse est aussi utilisée pour son action antibiotique naturel qui va venir également soutenir l’organisme et le protéger des « mauvaises » bactéries, en laissant libre les bactéries essentielles à notre flore intestinale.
15 gouttes 3 fois par jours à diluer dans un verre d’eau (pour les enfants, à partir de 3 ans, 2 gouttes pour 10kg de poids 3 fois par jour)
– L’allaitement maternel est sans aucun doute la meilleure des préventions pour votre enfant cotre la gastro-entérite et tout autre infection.

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La gastro-entérite est là ? Que faire ?

La gastro-entérite est là ? Que faire ?
Pas de panique, prenez la gastro par son bon côté (si je peux le dire ainsi). Les pics épidémiques s’installent souvent dès la rentrée de janvier, après les fêtes. Non pas parce que ce que vous avez mangé était de mauvaise qualité (pas forcément du moins) mais plutôt cas notre organisme est surchargé de toxines : alimentation trop riche, trop abondantes, alcool pour certains et autres substances nocives pour l’organisme.
Cette surcharge nous fragilise et ouvre la porte à la maladie ou plutôt aux maladies. Nous avons donc besoin de se détoxiner.
Les symptômes majeurs sont les vomissements et la diarrhée.
Laissez vous donc vous vider de ces déchets, virus et bactéries : cela ne dure que quelques jours et ça fait un bon ménage à l’intérieur.
Il est donc inutile de prendre (même ça serait contre productif) des médicaments de type anti-vomitif ou anti-diarrhétique. Bien sûr si les symptômes durent plus de 3 jours, prenez l’avis de votre médecin pour ne pas vous déshydrater. De plus, notez que les antibiotiques n’ont aucun effet sur les virus.
– Hydratez vous souvent : le risque principal en cas de gastro est la déshydratation. Soyez vigilants si vous êtres responsable d’enfants en bas âge ou personnes âgées : proposez leur de boire régulièrement.
– Reposez-vous, dormez si vous en ressentez le besoin, réduisez vos activités aux maximum et restez allongés de préférence.

– Pour ce qui de l’alimentation :
Mangez en petites quantités pour ne pas avoir de crampes ou douleurs intestinales
Mangez du riz, des pommes de terres, des bananes, poissons et viandes maigres (comme le poulet), des carottes cuites
>>> Privilégiez une bonne mono diète de riz blanc ou carotte.
Évitez les produits laitiers (les bannir même pour une guérison plus rapide), les fruits et légumes acides (ainsi que jus), les légumes verts, les légumineuses, les fritures et aliments gras, les plats épicés et les aliments trop riches en sucre…

– Les plantes en soutien

Le bourgeon de Cassis est aussi très utile en cas d’affections aigües prendre 15 gouttes toutes les 2 heures.
L’échinacée est une plante adaptogène et possède des propriétés anti-virales, en cas de gastro-entérite, elle viendra soutenir et renforcer l’organisme mais aussi elle permettra d’aider à l’élimination du virus
(lire ici : l’échinacée pourpre, la plante de l’hiver)

Elle peut être prise en gélule ou en extrait liquide.
Le gingembre frais en tisane pour diminuer les vomissements, mais comme dit plus haut laisser faire dame nature, ne faites pas stopper les vomissements et la diarrhée.
La mélisse contre les spasmes douloureux, tout comme la menthe, le fenouil, la verveine, la camomille : en tisane

– La propolis permettra également de lutter contre la gastro et renforcera l’immunité.

– Le lait d’argile verte : très efficace pour absorber déchets, virus et microbes, le lait d’argile permet également de renforcer les défenses intestinales
1 cuillère à soupe d’argiles verte bio dans un verre d’eau, mélangez avec une cuillère en bois. Laissez reposer plusieurs heures. Boire uniquement la partie translucide (le dépôt d’argile doit rester au fond du vert).
Le lait d’argile peut également être utilisé à titre préventif

– Les huiles essentielles
L’huile essentielle bio de menthe poivrée sera indiquée pour soulagée les nausées et vomissements : 1 goutte sur un comprimé neutre ou un peu de miel
L’huile essentielle bio de basilic pour calmer les spasmes, une goutte sur un comprimé neutre maximum 2 fois par jour.
L’huile essentielle bio de cannelle écorce, une goutte, combinée à 3 gouttes d’huile essentielle bio de niaouli, 2 gouttes d’HE bio de citron, 1 goutte d’HE bio d’origan pour diminuer les diarrhée tout en tuant les germes responsables de la gastro (je rappelle qu’il ne faut pas lutter contre la diarrhée, surtout les premiers jours, car elle permet de purger l’organisme. 2 gouttes du mélange sur un comprimé neutre 3 fois par jour

L’utilisation des huiles essentielles n’est pas anodines, toujours demander l’avis d’un professionnel. Ne pas donner aux enfants ni aux femmes enceintes ou allaitantes.

Il existe des capsules de synergie toute prête pour aider à retrouver un confort et un équilibre intestinal, en pharmacie ou parapharmacie, notamment les capsules de Pranarôm « santé intestinale »

Bien aérer son intérieur et assainissez l’air en diffusant la synergie d’huiles essentielles citées plus haut.

– Quant vous sentez une amélioration, que vous ne vomissez plus, n’avez plus de diarrhée, faites une cure de pré+probiotique, pour restaurer la flore intestinale.

Pour finir, quant votre pic de gastro est passé, et que vous allez mieux, recommencez à vous alimenter tout en douceur mais privilégiez tout de même le riz, les carottes et les fruits et légumes en général.

Conclusion
La gastro-entérite est très gênante et affaiblissante, même si pour les enfants et les personnes âgées, elle doit être suivie de très près, pour la plupart de la population, elle est sans risque et ne dure que quelques jours.
Cette maladie est contagieuse, en cas d’épidémie, il convient de se protéger et de prévenir la maladie en se protégeant (voir consignes plus haut) et en protégeant ses proches. N’oubliez pas suite à une gastro, on peut rester contagieux encore une semaine ou plus.
Reposez vous, hydratez vous et ayez une hygiène de vie saine pour être vite rétabli.
Si votre diarrhée (et vomissements) ont duré trop longtemps et que vous êtes trop affaiblie, n’hésitez pas à faire le point avec votre médecin sur d’éventuelles carences en sel et minéraux.
Consultez votre médecin si les symptômes ne s’estompent pas au bout de 3 jours.

Une consultation chez une/un naturopathe, en prévention de la période hivernale, vous permettra de faire le point et de vous renforcer pour faire bloc face aux infection, virus, bactéries…de l’hiver
A lire : 5 astuces pour préparer l’hiver avec la naturopathie


Lire la suite : Gérer la Gastro chez les jeunes enfants

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Syndrome de Fatigue Chronique & Naturopathie

by 6 janvier 2020

Syndrome de Fatigue Chronique & Naturopathie : causes, symptômes,SOS Naturo

Le syndrome de fatigue chronique est une maladie qui touche plus de 2 millions de personnes. Appelée aussi encéphalomyélite myalgique, elle est répertoriée parmi les maladies neurologiques par l’OMS.
Le syndrome de fatigue chronique se caractérise par une grande fatigue invalidante qui dure depuis plus de 6 mois et qui affecte tout le corps. Ses symptômes sont très similaires à ceux de la fibromyalgie. D’ailleurs les deux sont souvent confondues et le diagnostic des deux est difficile et long à poser.

Les symptômes du syndrome

Les symptômes sont très variable d’une personne à une autre. Ils peuvent être plus ou moins invasifs sur le quotidien des personnes atteintes en fonction de leur expérience de vie, de leur capacité de résister à la fatigue, de leur état psycho-émotionel.
Le symptôme majeur est une fatigue constante et non soulagée par le repos, le sommeil. A ce celui-ci s’ajoute, tout comme pour la fibromyalgie, des symptômes, troubles satellites :
– Troubles de la mémoire courte, de la concentration
– Anxiété, stress chronique
– Douleurs musculaires, articulaires sans signes d’inflammation
– Douleurs abdominales, nausées
– Céphalées et migraines
– Troubles du sommeil : insomnie et sommeil non réparateur
– Mal de gorge
– Étourdissement
– Palpitation sans présence de maladie cardiaque connue
– Symptômes pseudo-grippaux récurrents 

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Les causes & facteurs déclenchant de la fatigue chronique

Les causes, ici aussi, sont également nombreuses et variables selon les personnes :
(A lire les causes de la fibromyalgie)
– Une infection virale, bactérienne chronique ou aiguë (même ancienne surtout si elle a mal été gérée)
– Maladie auto-immune
– Une vaccination récente
– Une exposition aux métaux lourds ou produits toxiques (comme les pesticides)
– Un traumatisme physique ou psychique
– Un dérèglement du système immunitaire
– Dérèglement du système hormonal, de la thyroïde
– Suractivité du foie, de l’estomac, des surrénales
– Surmenage
– Surpoids et obésité

En cas de dérèglement du système immunitaire, la personne, atteinte du syndrome de fatigue chronique, est en encore plus sensible et vulnérable aux infections.


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Syndrome de Fatigue Chronique et Naturopathie

En naturopathie, nous cherchons toujours et en priorité à intervenir sur la cause profonde des troubles et non sur les symptômes.
En agissant sur le terrain, en considérant le corps et l’esprit comme une entité unie et indissociable, le/la naturopathe va corriger les dérèglements internes responsable de ces troubles, et nettoyer l’organisme afin de lever les leviers d’auto guérison que chacune/chacun possèdent en lui.
Ainsi, en naturopathie, la fatigue chronique est due à l’encrassement de l’organisme, de mauvaises habitudes de vie.
Cet encrassage est causé par une alimentation déséquilibrée, à du stress chronique non contrôle, à un état d’esprit encombré, à une fatigue psychique, à la sédentarité, à un non respect de notre rythme microbiologique naturel.
Des corrections sont donc à mettre en place pour rééquilibrer le terrain et avoir une meilleur qualité de vie, pour arriver à bout de ce syndrome de fatigue chronique.

1 – L’alimentation
Encore et toujours, cette bonne bouffe qui nous donne du plaisir mais qui est souvent responsable de l’encrassement de l’organisme. Un changement alimentaire est bénéfique tant sur le plan physique que psychique.
La consigne de base est, sans surprise, avoir une alimentation saine, bio et/ou de qualité, équilibrée, variée…
– Éviter les aliments gras, sucrés et transformés
– Éviter les excitants : café, thé (sauf thé vert), alcool, tabac…
– Diminuer vois supprimer la consommation de gluten et de lactose (pour faire le point sur d’éventuelle intolérance)
– Privilégier les céréales complètes
– Prendre des repas légers et s’accorder une vraie collation.
– Privilégier les bonnes graisses (huiles de lin, coco, olives, poissons gras, fruits oléagineux…)
– Favoriser l’apport de vitamine D, B12,B16 et C
– Apporter un complément en oligo-éléments et minéraux

Avoir une bonne hygiène alimentaire c’est aussi, manger à table, dans le calme, sans regarder la TV, ou smartphone…
C’est également bien mâcher, mastiquer, c’est prendre du plaisir à table !

2 – Activités physiques
Pratiquer une activité physique régulière contribue à améliorer significativement la fatigue. Mais aussi par l’oxygénation apportée à l’organisme, par les étirements doux, bouger permet de diminuer également la douleur.

3 – Respiration
Effectuer des exercices de respiration complète (lire ici) permet de s’oxygéner, de se ressourcer, de se recentrer sur soi-même et permet de regagner en vitalité et diminuer la sensation de fatigue constante.

4 – S’aérer
Idéalement, il faut sortir tous les jours au grand air, faire le plein d’oxygène, d’ions négatifs permet de se requinquer et d’avoir plus d’énergie. Accordez vous le temps de faire vos activités physiques en extérieur, : une bonne marche, faire du vélo…

5 – Gestion du stress et des émotions
Le syndrome de fatigue chronique est souvent du à un stress chronique, qui lui même va encrasser l’organisme, et piéger la personne dans un état de fatigue psychique, d’angoisse, d’anxiété non comprise et non contrôlée.
Un suivi par une/un psychologue peut être nécessaire et vivement conseillé pour mettre en lumière vos blocages, pour visualiser vos traumatismes et les assimiler afin d’avancer et de reposer votre conscient et votre subconscient
– Des exercices de sophrologie peuvent également vous permettre de lâcher prise et vous indiquer le chemin de la détente et du repos.
– Apprendre à dire NON : ne plus se mettre la pression avec des choses que l’on ne veut pas ou que l’on ne peut pas faire. Libérez vous des pressions psychologiques
Déléguer le travail, remettre à plus tard : quant on est fatigué, il faut savoir s’arrêter, demander et accepter de l’aide, il faut se reposer…

6 – Améliorer son sommeil
S’endormir facilement et avoir un sommeil réparateur est censé être inné chez l’être humain, sauf que notre de mode de vie dit moderne ne va pas dans ce sens.
Une personne atteinte du syndrome de fatigue chronique a du mal à dormir. Le matin, elle a cette impression de ne pas reposer, d’avoir mal partout, d’être déjà fatiguée.
Pour venir à bout de la fatigue il faut veiller à prendre soin de notre sommeil.
Tous les conseils mentionnés plus haut, vont déjà permettre d’optimiser le sommeil et l’endormissement, mais d’autres consignes doivent être ajouter pour pouvoir retrouver un bon sommeil réparateur :
– Aller se coucher dès les premiers signes de fatigue, d’endormissement, ne pas lutter contre le sommeil
– Avoir un rituel de coucher : lecture, bain, exercices de respiration, yoga…
– Ne pas regarder la TV, utiliser smartphone, tablette au moins une bonne heure avant l’heure habituelle du coucher
– Ne pas avoir d’écran dans la chambre
– Bien aérer la chambre la journée
– Éloigner le réveil et la lampe de chevet du lit
– Se réveiller et se coucher à horaires régulières
– Manger léger le soir, idéalement, végétal uniquement et de préférence avant 20h (19h30 même c’est mieux).
– S’accorder une sieste après le déjeuner de 5 à 15 minutes.

7 – Massage bien-être
Les massages bien-être sont très bénéfiques dans l’accompagnement du syndrome de fatigue chronique.
Les massages permettent de se détendre en agissant en profondeur sur les tensions et blocages nerveux.

8 – Les plantes contre le syndrome de fatigue chronique
La phytothérapie permet de donner un coup de pouce à toutes les précédentes recommandations pour arriver à se relever et regagner en énergie et vitalité.
– Le ginseng : super plante anti-fatigue (lire ici l’eleutherocoque : le ginseng de Sibérie). Le ginseng améliore les capacités physiques et mentales, favorise la détente, le repos et la convalescence.
Le ginseng est à utiliser sous forme de gélules, en poudre ou en décoction : une cure de 1 à 3 mois est souvent recommandée. (déconseillé aux femmes enceintes, aux enfants de moins de 12 ans, en cas de cancer hormono-dépendant et d’hypertension)
– Mais aussi le gingembre, la camomille, la valériane, le passiflore, le pavot de Californie, la menthe
– une consultation chez un/une naturopathe permettra de cibler vos problèmes par rapport à votre propre expérience de vie, et pourra vous conseiller de façon personnalisé les plantes adéquats à votre situation (elles sont nombreuses comme : le Kola, la rhodiole, l’angélique chinoise…)
– Les huiles essentielles sont également recommandées : Par exemple les huiles essentielles de Ravintsara, de thym, de pin sylvestre, de marjolaine des jardins en synergie pour masser les points énergétiques, favorisent la récupération, la détente et stimulent tout l’organisme (un autre article sera entièrement consacré aux huiles essentielles anti-fatigue, inscrivez-vous, pour être averti)

9 – Les autres outils/techniques naturels pour lutter contre le syndrome de fatigue chronique
– L’acupuncture
– La chiropraxie
– L’hydrothérapie
– La méditation
– Le yoga…

N’hésitez pas à consulter un professionnel de la naturopathie pour établir un bilan et un programme personnalisé à votre situation. Cette consultation permettra de cibler vos propres causes de fatigue chronique.


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Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Sources :
Association SFC : http://www.asso-sfc.org/syndrome-fatigue-chronique.php
Études  : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6078083/ et https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2766938/
Livres : Sortir de la fatigue chronique
Fibromyalgie ou fatigue chronique ?

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