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[Enfants] 15 astuces pour leur apprendre à bien manger

by 30 janvier 2019

Apprendre à bien manger : tout un programme. L’école de la vie est la meilleure institution ! Tous ce que ton enfant va apprendre de toi, de la vie sera ancrée au plus profond de son être.

Nous n’avons de cesse de dire, lire…qu’il faut avoir une alimentation, saine, équilibrée et variée. Que penses-tu d’initier ton enfant dès son plus jeune âge à cette méthode healthy (santé) ?

Tu rêves que ton enfant mange sainement pour que sa santé soit préservée, pour qu’il puisse grandir sans soucis ? Et bien tout est question d’éducation. Un enfant apprend par mimétisme, tous ce que tu fais, il va le faire !
Montre lui le bon exemple, apprends lui les bonnes habitudes alimentaires, apprends lui à aimer ce qu’il mange, apprends lui à être conscient de cette alimentation santé, respecte ses opinions, ses goûts…

Si des mauvaises habitudes ont déjà été installées malgré sont jeune âge, l’enfant aura un appétit très capricieux et les aliments sains ne sauront le satisfaire !
La lutte, pour lui apprendre à bien manger, peut être de longue haleine mais ne doit surtout pas se transformer en guerre.

Dans cet article, je te propose quelques pistes pour apprendre à ton enfant à avoir une alimentation saine, à manger équilibré et lui permettre de grandir dans cette dynamique pour qu’il puisse avoir les bonnes habitudes, les bons réflexes pour que plus tard, dans sa vie , manger sain, équilibré et varié soit une évidence..

 

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1 – Apprendre, c’est expliquer !

Apprendre à bien manger à un enfant c’est passer par l’étape explication : prends le temps de lui expliquer l’importance pour la santé de bien s’alimenter, apprends lui, en douceur, progressivement, des notions de nutritionnelles :
Les protéines se trouvent dans les viandes mais pas que il y en a aussi dans les lentilles, les haricots…Elles sont essentielles pour bien grandir…
Les glucides donnent de l’énergie et que ceux qui proviennent de céréales complètes sont mille fois meilleurs que les pains, sucres blancs….raffinés
Les fruits et légumes apportent des vitamines et de minéraux qui eux nous aident à être plus fort que les maladies, et sont essentielles au fonctionnement du système nerveux.

2 – L’impliqué dans la liste de course, dans le choix des aliments aux magasins et en cuisine.

– Fais une liste des aliments sains qu’il aime
– Appelle le pour faire la liste des courses avec toi, et fais lui ajouter les aliments listés plus haut, soit très diplomate, l’idée doit venir de Lui.
– Au marché, magasin, implique le également dans le choix des légumes, des fruits…
– Enfin à la maison, l’initiation continue, il range avec toi les courses et cerise sur le gâteau il va participer à l’élaboration du menu et des plats : avec ton aide bien évidemment, laisse le éplucher les légumes, assaisonner les plats…
– Laisse le t’aider à mettre la table
► Le fait que l’enfant se sente impliqué, ça fait de lui quelqu’un d’important et de responsable du moins dans son esprit d’enfant, tu verras qu’il gouttera forcément à ce qu’il a acheté, cuisiné, et insistera même pour que tout le monde en fasse autant.

3 – Apprends toi même à faire des plats équilibrer.

– Comme nous l’avons vu plus haut dans l’article, pour apprendre à bien manger à un enfant, il faut que tu sois irréprochable. Tu es le modèle de ton enfant, tout ce que tu fais, il l’enregistre !
– Élabore des plats équilibrés, vise sur la diversité, la qualité…
– N’achète plus de plats industriels : prends le temps de cuisiner pour ceux que tu aimes (et pour toi aussi, ça te fera pas de mal)
– Dans cette phase d’apprentissage et pour qu’il puisse goûter à un maximum d’aliments, installe une routine de plat : 1 légume : 1 jour et 1 fruit : 1 jour
Une source de glucides provenant de grain entiers : pain, pâte, riz.
1 protéine : 1 jour : volaille, viande rouge, poisson, protéine végétales.
N’oublie pas les bons gras présent dans les huiles végétales bio pressées à froid.


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4 – Stop à la mal-bouffe
Tu es responsable de ce que mange ton enfant, la règle est simple pas de malbouffe à la maison, les enfants ne pourront pas en manger !
– Arrête d’acheter des plats industriels, des sucreries, des desserts blindés de sucres
– Garde le fruit, dans la mesure du possible, pour la collation, de ton enfant
– Habitue le à prendre des noix (amandes, noix, noisettes…) pour le goûter, achète les avec leur coque et dé-coque les avec ton enfant, il appréciera plus ce qu’il mange (et c’est meilleur).

  • Lorsque exceptionnellement tu pâtisse, fais le participer également en lui éduquant la notion de plaisir : on peut se faire plaisir de temps en temps ça fait du bien et ça évite d’être frustrer.

5- On mange à table et à l’heure !
– Éduque aussi ton enfant dans ce sens. On ne picore pas entre deux jeux, on se met à table pour manger, c’est un moment privilégier que l’on partage avec les gens qu’on aime, fais lui apprécier ce moment.
– Il faut aussi qu’il apprenne qu’il faut prendre le temps de manger, de bien mastiquer pour bien digérer.
– Sers toi en premier pour que ton enfant puisse voir la quantité de chaque aliment que tu vas mettre dans ton assiette et laisse le se servir tout seul, veille juste à ce qu’il prenne de tout mais n’interviens pas sur la quantité.
– N’hésite pas à lui proposer une collation avec une nouveauté à découvrir de temps en temps pourquoi pas (toujours un aliment/produit sain)
– Enfin on respecte notre rythme biologique, on mange à peu près, à heure fixe : on est pas à 5 minutes près mais on reste régulier !
– Et aussi, il est hors de question de sauter un repas, même et surtout le petit dèj.

6 – Ruse pour lui faire découvrir des aliments qu’il n’aime pas ou ne connaît pas

Avec ta liste des aliments que ton enfant aime (voir plus haut), tu vas user de stratégies lui faire goûter des goût qu’il n’aime pas ou qu’il n’ose pas goûter. Par exemple :
– S’il aime les concombres, profite d’une salade pour y ajouter de la laitue, du fenouil, des tomates, carottes…
– Cache les aliments qu’il n’aime pas en dessous des aliments qu’il apprécie.
– Fais lui des soupes en ajoutant des aliments qu’ils n’aiment pas à ceux qu’il accepte. Si à la fin du repas, tu le questionnes qu’il te dis qu’il a aimé alors avoue lui avec tact qu’il y avait tel ou tel aliment et fais lui remarquer qu’en fin de compte il a aimé.
– Hache les légumes finement pour qu’ils passent inaperçus, ajoutes des fruits dans des yaourts…
– Ne lui propose pas plusieurs plats. Un seul, pas de choix donc l’enfant est devant le fait accompli
– Dresse son assiette de façon drôle et ludique.
– …

7 – Pas de chantage à la nourriture et on ne force pas à finir l’assiette.
Non, on ne fait pas manger son enfant en lui faisant du chantage :
« tu manges tes légumes ou pas de dessert » – « Si tu veux sortir de table, tu finis ton assiette, ou tu termine tes légumes »
Apprendre à bien manger ne se fait pas sous la pression, il faut que le repas doit être un moment de plaisir donc pas d’agressivité, persévérance mais pas d’agressivité !
N’hésite pas à le féliciter pour l’effort qu’il a fait même s’il a juste goûter, pour lui c’est énorme !

Maintenant, quelques idées pour varier tes plats

8 – La bouillie d’avoine 
Oui je sais l’idée de la bouillie ne donne pas envie, même pour nous, adultes. Mais ton enfant en tirera les profits et bienfaits :
Pour que cette bouille attire ton enfant, ajoute du cacao, des fruits, des noix, du miel…

9 – Pas de céréales transformées le matin
Remplace les par des céréales et des grains entiers riche en fibres.

10 – Goûter gourmand et sain.
Utilise de la farine de blé complet, de sarrasin, de poids chiche pour préparer crêpes, pancakes, gaufres ou autre bons petits plaisirs.

11 – Petit dèj. Sain, appétissante, et qui cale
Le granola : des oléagineux (noix amandes…), des flocons d’avoine, des graines de chia, sésames…., du miel ou du sirop d’agave, de l’huile de coco ( donne moi ta recette de granola en commentaire)
Ajoute au granola des fruits, des baies, un yogourt, du lait d’amande….

12 – Pas de pain blanc
Habitue ton enfant au pain complet, même pour tes sandwichs maison (yes ! Un sandwich healthy bien évidemment)

13 – La pizza saine
Si tu n’as pas la main lourde sur le fromage, la pizza peut-être un repas équilibré pour ton enfant. Comment ? Mon Dieu une pizza saine !!!!
Oui, veille juste à mettre sur ta pizza une garniture saine (oignon, poivron, épinard, champignons…). Et si en plus ta pâte est faite de farine complète, t’es la championne !!!

14 – Mélange les légumes aux pâtes
Si tu le peux comme dit plus haut, choisis des pâtes à base de blé complet. Ajoute des légumes (que à la sauce ou que tu auras fais sauter. Augmente progressivement la quantité de légumes et diminue les pâtes.

15 – Les légumes rôtis, c’est le top !
Ils sont faciles à digérer par les enfants et c’est tellement bon !
Coupes tes légumes comme des frites (courgettes, patates douce, carottes, betteraves…) et enfourne les dans un four chaud avec juste un peu d’huile d’olive et du sel, mmmmm

Pour finir, je te conseille vivement d’être à l’écoute de ton enfant et de collaborer avec lui. C’est le secret pour apprendre à bien manger et à intégrer ses apprentissages. Il te faudra être patiente mais ça en vaut la peine ; ces bonnes habitudes alimentaires suivront ton enfant tout le long de sa vie et il t’en remerciera…

A toi ! Partage avec nous tes astuces pour apprendre à ton enfant à bien manger, RDV en commentaire.

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Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

La respiration

by 25 janvier 2019

En naturopathie, la respiration est un facteur santé prioritaire qui participe largement à notre hygiène de vie et à notre équilibre.

« Nous naissons par une inspiration, nous mourrons par la dernière expiration. Entre les deux, la vie voit défiler un cortège de souffle… » Christian Brun – Le grand livre de la naturopathie

Nous sommes tous nés avec la capacité d’inspirer et d’expirer, naturellement, involontairement, le système respiratoire est toujours en action même lorsque nous dormons.
Nous ne pouvons pas vivre plus de 5 minutes sans respirer.
Ainsi, prendre conscience de notre respiration, apprendre à mieux respirer, permet d’avoir une qualité de vie meilleure : gestion du stress, des émotions, calme, concentration….

Comment respire-t-on ? Que se passe-t-il dans notre corps ?

J’ai choisis 2 vidéos pour bien visualiser le mécanisme, je trouve que c’est mieux et moins ennuyeux qu’un texte brut !

https://youtu.be/vGN4LO9WdFchttps://youtu.be/tYTbbPSGIHk

Que respirons nous réellement ?

Nous respirons donc de l’oxygène ou plus exactement du dioxygène qui est un gaz incolore et inodore, il est vital à la vie.
Mais l’air que nous respirons n’est pas composé d’oxygène : en réalité, uniquement 21% de l’air de l’atmosphère est constitué de dioxygène. Pour le reste il est composé d’environ 78% d’azote et d’autres gaz à l’état de traces seulement (dioxyde de carbone…). Malheureusement l’air que nous respirons est de plus en plus pollué (monoxyde de carbone, dioxyde de souffre…). Cette pollution impact directement notre santé, d’où la nécessité de s’accorder des pauses « respiration d’air pur » en faisant des promenades en forêt, prendre des « green » vacances…

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L’air que nous respirons impact notre santé

Comme vu plus haut, l’air que nous respirons à des incidences directes sur notre santé. Même si nous utilisons des plantes, des diffusions d’huiles pour assainir nos bronches de toute la pollution présente dans l’air, notre organisme a besoin de se recharger en oxygène sain et pur pour pouvoir rester en forme : L’oxygène (ou plutôt dioxygène que nous respirons est un véritable allié pour nettoyer l’organisme des toxines : Quand on vous dis de, ne serait ce que, marcher 30 min à l’extérieur c’est pour activer les poumons (un émonctoire, une porte de sortie des déchets de l’organisme afin qu’ils puissent contribuer au nettoyage interne.

Les bienfaits de l’oxygène sur l’organisme
Être bien oxygéné c’est :
Renforcer son système immunitaire et nerveux
Calmer son esprit, et réduire le stress et les pensées négatives
Accroître la concentration et la mémoire
Soulager les maux de tête
Optimiser les performances sportives
Aider à la récupération musculaire

Les dangers du manque d’oxygène
Le manque d’oxygène est du à tous les polluant présent dans l’air : ils réduisent la quantité d’oxygène présente dans les tissus et freinent les échangent gazeux (voir vidéo plus haut). Le monoxyde prend même, dans certain cas la place de l’oxygène dans l’hémoglobine.
Aussi, une chute de tension artérielle due à un choc ou un coup de stress, est aussi à l’origine d’un manque d’oxygène.

Que se passe-t-il lorsque l’on manque d’oxygène ?
– Fatigue
– Manque de concentration
– Maux de tête
– Stress, nervosité, irritabilité.

Donc, tout le monde l’aura compris, mieux s’oxygéner, cela implique mieux respirer !
Oui mais comment ?

La fréquence de notre respiration est d’environ 15 respirations par minutes. Cela semble inné mais en fait, sans s’en rendre compte, dans certaine situations, nous n’avons pas une bonne respiration : respiration trop courte, bloquée…
En une journée, tu passes par différents rythmes de respiration, et ils sont liés à tes émotions !

Comment contrôler sa respiration pour retrouver son bien-être ?
L’exercice est simple, il suffit de prendre « conscience » de sa respiration et prendre le temps de respirer, bien respirer.
Ferme les yeux et écoute toi respirer. Sois attentive (f) aux mouvements de ton corps, au trajet qu’emprunte l’air pour entrer dans ton organisme et en ressentir, trouve ton propre rythme, le rythme qui te détends, qui te fais du bien….

Il existe différentes techniques de respiration pour atteindre le bien-être, gérer ses émotions, nous en parlerons bientôt dans un nouvel article.

En attendant, ce week-end, sors et RESPIRE !


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Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Rhume du bébé et de l’enfant en bas âge : comment le gérer naturellement

by 16 janvier 2019

La hantise des parents : le rhume du bébé et la peur que ça dégénère !
Pourtant il ne faut pas céder à la panique, en moyenne un enfant en bas âge risque d’attraper un rhume au moins 8 fois par an ; il faut donc se blinder et se préparer à gérer au mieux ces épisodes viraux

Symptômes :

Bébé a le nez qui coule, tousse, a mal à la gorge, il est grognon et pas très en forme ? Tu peux adoucir ses symptômes naturellement pour qu’il se sente mieux, puisse mieux dormir et mieux récupérer, éviter que ça ne dégénère en sur-infection…
****Ces conseils ne remplacent en aucun cas l’avis d’un médecin****

D’abord et comme toujours en naturopathie : Les causes du rhume (rhinite)

– Le rhume aigu est causé par agent pathogène le rhinovirus, Facilement transmissible, ses symptômes sont ceux évoqués plus haut, il est souvent suivi d’une infection bactérienne et l’écoulement nasal devient plus purulent.
– Le rhume chronique : Les faibles défenses immunitaires des enfants en bas-âge explique qu’ils sont souvent malade surtout la première voir la deuxième année.
– Le rhume allergique : Saisonnier, il est du à une allergie aux pollens mais aussi aux poussières, aux poils d’animaux, certaines farines….Il est souvent accompagné de conjonctivites.

En cas de rhume aigu, n’attends pas pour passer à l’action dès les premiers symptômes tu peux agir pour donner plus de confort à ton enfant et le soulager

Comment agir pour soulager le rhume de bébé naturellement :

1 – L’alimentation :
Veille à ce que ton enfant ait une alimentation saine et équilibrée (comme d’hab. Quoi!). Évite les produits laitiers qui créent beaucoup trop de mucus.
Surtout si ton enfant n’a pas faim, STP ne le force pas ! Le mieux pour ton enfant pour pouvoir combattre ce virus est d’avoir un estomac libre et disponible.
Au besoin tu peux fractionner les tétées et/ou les repas, à la demande de bébé.

2 – Lavage de nez :
Ici attention au nouveau-né, il ne faut pas exagérer dans les lavages nasaux au risque de plus nuire que de soulager, n’hésite pas à demander conseil sur la position de bébé, la fréquence des lavages et la quantité à utiliser.
Recette maison en alternative au sérum physiologique :
1 tasse d’eau bouillie, 1 pincée de fleur de sel et une pincée de sel de nigari.
Dissoudre les sels dans l’eau chaude, une fois la préparation refroidie, remplissez une poire pour bébé.
Techniquement comment faire le lavage ?
Couche bébé sur un côté et injecte la préparation à la l’aide la poire dans la narine, bouche délicatement la narine et un court instant (moins d’une seconde) pour que l’eau ressorte de l’autre côté en évacuant ainsi la narine. Fais pareil de l’autre côté.
Pour les plus grands, il suffit de leur demander de pencher la tête d’un côté puis de l’autre.
Un lavage matin et soir devrait suffire.

3Massage :
A partir de 3 mois tu peux masser bébé avec de l’huile essentielle d’Eucalyptus radié (radiata)
2 cuillères à soupe d’huile d’olive
6 gouttes d’huile essentielle d’Eucalyptus radié (achète le bio et chémotypée)
Mélange bien, et applique 5 gouttes de cette préparation sur le thorax et le haut du dos de ton enfant : 3 fois par jour.
PS : Tu peux ajouter de l’hydrolat de thym dans le bain de bébé si une personne de son entourage a un rhume, ça va le protéger.

4 Aération de l’intérieur de la maison et de la chambre de bébé
Bien aérér la chambre de bébé et toute la maison est essentiel, même s’il fait froid. 5-10 minutes le matin et 5-10 minutes l’après midi.

5Assainir l’air :
En diffusant des huiles essentielles, tu vas lutter efficacement contre la contagion de ce virus :
Dans un diffuseur, dépose 5 gouttes d’eucalyptus radié, 5 gouttes de ravintsara, 5 de bois de rose et 5 de lavande vraie
Attention : Ne jamais diffuser d’huile essentielle en présence d’enfants.

6Humidification de l’air
L’air sec à l’intérieur de nos habitations (à cause du chauffage) aggrave les symptômes du rhume car il assèche le nez et les voies respiratoires. Ne surchauffe pas ton appartement et humidifie autant que possible l’air.
Comment ?
Pose des saturateurs sur les radiateurs, remplis les d’eau ou pose des bols d’eau sur le chauffage et tu même y ajouter quelques gouttes d’huile essentielle de lavande vraie, n’oublie pas de changer l’eau régulièrement.Tu peux aussi un humidificateur d’air.
Autre astuce : mets le linge à sécher dans la chambre de bébé.

7Amélioration des conditions de repos de bébé.
Pas de complète guérison sans un bon dodo ! L’organisme se guérit seul du rhume, il est donc important de tout mettre en œuvre pour qu’il puisse le faire dans les meilleurs conditions et il a donc besoin de repos.
Pour que bébé puisse bien dormir, et mieux respirer la nuit (le nez étant encombré), il suffit de lui surélevé la tête avec un oreiller sous son matelas.
Ne le couvre pas trop.

Attention :
Ne donne pas d’antibiotiques, ils ne servent à rien dans les pathologies virales, ni d’aspirine ou ibuprofène sans l’avis de ton médecin. = pas d’automédication !
Demande toujours conseils pour l’utilisation des huiles essentielles

Enfin quand consulter ton médecin ?
– Si la fièvre est toujours au dessus de 38,5°C au bout de 3 à 4 jours
– Si sa voix s’enroue
– Si sa toux devient sifflante
-S’il se touche les oreilles et hurle
– Si, en plus du rhume il a des diarrhées et des vomissements
– S’il ne s’alimente plus depuis plusieurs jours
– Si son comportement change, qu’il est très fatigué, ne joue plus, manque d’énergie…
– S’il a une conjonctivite (yeux fermés le matin et larmoyant)

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

11 plantes autorisées pendant la grossesse

by 9 janvier 2019

La grossesse est une période unique où les femmes sont à la recherche de solutions naturelles pour soulager les petits maux liés à cette nouvelle condition. Les plantes, utilisées depuis des siècles pour leurs vertus thérapeutiques, peuvent être de précieuses alliées. Cependant, il est essentiel de les choisir avec soin et de demander l’avis d’un professionnel de santé avant toute utilisation

Les plantes : une aide précieuse pendant la grossesse

De nombreuses plantes peuvent aider à soulager les symptômes courants de la grossesse tels que les nausées, les jambes lourdes, l’anxiété ou les troubles du sommeil. Elles agissent en douceur et peuvent être une alternative intéressante aux médicaments conventionnels.

Important :

  • Consultation d’un professionnel de santé : Avant de commencer toute automédication, il est indispensable de consulter un médecin, une sage-femme ou un naturopathe pour vérifier qu’il n’y a aucune contre-indication et pour adapter le traitement à ta situation personnelle.
  • Qualité des plantes : Privilégie les plantes biologiques et de qualité pharmaceutique pour garantir leur pureté et leur efficacité.
  • Mode d’utilisation : Les plantes peuvent être consommées en infusion, en gélules ou en teinture mère. Cependant, il est préférable d’éviter les teintures mères pendant la grossesse en raison de la présence d’alcool.
  • Dosage : Respecte scrupuleusement les dosages recommandés. Une surdose peut être dangereuse.
  • Associations : Certaines plantes peuvent interagir avec des médicaments ou d’autres plantes. Il est donc important de ne pas les associer sans avis médical.

Les plantes les plus utilisées pendant la grossesse

  • Gingembre : Efficace contre les nausées, il peut être consommé en infusion ou en gélules.
    Reconnu par L ‘OMS depuis 1999 pour son efficacité et sa sécurité, la racine de gingembre est incontournable pendant la grossesse.
    Utilise-le en infusion à raison de 1g de gingembre rappé pour 1l d’eau bouillante. Laisse infuser 10 min, filtre, ajoute du miel ou du citron (si tu le veux) et bois cette préparation 2 fois par jour (maximum 3 fois par jour).
    en fonction de la posologie du labo.
    Attention : L’utilisation du gingembre ne se fait sur du long terme, mais quelques jours seulement.
    La Marjolaine et la mélisse soulagent aussi les nausées de la femme enceinte: Ces plantes possèdent des propriétés calmantes et antispasmodiques, idéales pour lutter contre l’anxiété et les troubles du sommeil..
  • La fleur d’oranger : Angoisse, anxiété, insomnie
    C’est propriété calmante et relaxante vont t’aider à de détendre efficacement et favorisent un bon sommeil réparateur.
    En infusion, 2 cuillères à soupe dans un litre d’eau.
    Elle existe aussi en brume pour vaporiser sur ton oreiller au coucher, et en huile pour mettre dans ton bain
    Le passiflore, la lavande, la mélisse, le tilleul peuvent aussi être utiliser pour se relaxer.
  • Vigne rouge : Elle améliore la circulation sanguine et soulage les jambes lourdes.
    Pendant la grossesse, il n’est pas rare de voir des varices s’installer : la faute aux hormones qui fragilisent les veines et au poids du ventre qui va exercer une pression sur les membres inférieurs.
    La vigne rouge est une plante circulatoire qui soulagera tes jambes lourdes
    A prendre en infusion à raison de 2 cuillères à soupe par tasse d’eau
    L’hamamélis est aussi conseillée pour les jambes lourdes
  • Hamamélis : Cette plante possède des propriétés astringentes et anti-inflammatoires, utiles pour soulager les hémorroïdes et les irritations cutanées et pour soulager les seins tendus.
    L’hamamélis soulage les inflammations bénignes et la sécheresse de la peau. Elle apaise les tiraillements de la peau et décongestionne la poitrine
    Prépare une lotion : 1 grande cuillère à soupe (feuilles, écorces et rameaux séchées) dans 250 ml d’eau. Laisse refroidir puis trempe s’y des compresses et applique sur les seins douloureux 2 à 4 fois par jour. En infusion pour les hémorroïdes


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  • Graines de psyllium : Elles favorisent le transit intestinal et luttent contre la constipation.
    Fais tremper les graines dans de l’eau bouillante pendant 10 min, puis avale le mélange eau + graines, de préférence le soir au coucher
    La racine de guimauve et les fleurs de mauve sont aussi efficaces en cas de constipation, utilise-les en gélules ou en infusion, également le soir au coucher
  • Canneberge : Elle aide à prévenir les infections urinaires.
    En infusions ou en gélules
    La bruyère peut être utilisée avec précaution.
  • Prêle des champs : Riche en silice, elle contribue à renforcer la peau et à prévenir les vergetures.
    Il s’utilise en lotion : fais bouillir un litre d’eau avec 100g de prêle des champs pendant 30 minutes. Filtre, trempe dans la préparation quelques compresses et appliquez sur les endroits à risques (ventre, hanches, fessiers, seins…) 15 à 20 minutes par jour
  • Lithotamne : Cette algue alcaline est bénéfique pour lutter contre les reflux gastriques et les brûlures d’estomac. A consommer en poudre ou en gélule.
  • Bardane : Elle aide à purifier la peau et à lutter contre l’acné.
    En lotion, applique la préparation sur les zones concernées
    En infusion, à boire 2 fois par jour loin des repas
    Tu peux ajouter à la bardane de la pensée sauvage et de l’ortie
  • Thym : Il possède des propriétés antibactériennes et antivirales, utiles en cas de rhume ou de grippe.
  • Framboisier : Les feuilles de framboisier sont traditionnellement utilisées pour préparer l’utérus à l’accouchement. Cependant, leur utilisation doit être encadrée par un professionnel de santé.
    pour faciliter l’accouchement
    Il prépare l’utérus à l’accouchement en le renforçant (prévention des césariennes), améliore l’efficacité des contractions, réduit les nausées, améliore la solidité de la poche des eaux, réduit la douleur du travail avant accouchement et après naissance, régule les hormones après l’accouchement
    A prendre uniquement sous l’avis d’un professionnel (n’hésite pas à en parler à ta sage-femme, gynéco…).
    Le dernier mois grossesse, en infusion : 2 cuillères soupe bombées pour 1litre d’eau, prends 1 à 3 tasses par jour entre les repas.
    Au moment voulu, si les contractions ne sont pas efficaces, ajoute de la sauge au framboisier.

En conclusion : Les plantes peuvent être de précieuses alliées pendant la grossesse pour soulager de nombreux petits maux. Cependant, il est essentiel de les utiliser avec prudence et sous le contrôle d’un professionnel de santé. Une alimentation équilibrée, une activité physique adaptée et une bonne hygiène de vie sont également des éléments clés pour une grossesse sereine.

N’hésitez pas à consulter un naturopathe pour bénéficier d’un accompagnement personnalisé et d’un programme de soins adapté à vos besoins


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As-tu déjà utilisé des plantes pendant ta/tes grossesse ? Lesquelles ? Quels ont été les effets ? Dis nous tout en commentaire

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7 conseils pour gérer la fatigue avec la naturopathie

by 5 janvier 2019


MAJ 03/11/21 : 2 synergies d’huiles essentielles anti fatigue (voir plus bas)

La fatigue ! Qui de nos jours ne se plaint pas d’être fatigué ?!

Mais comment en sommes-nous arrivés là ! Une fatigue passagère après un effort, un travail oppressant, on se dit que ce n’est pas bien grave et que nous allons récupérer ! Mais voilà, nous la laissons s’installer, parce que nous vivons une époque où nous baissons souvent les bras, et de fatigue passagère, la voilà qui s’invite dans notre quotidien et devient une fatigue chronique.
Mais concrètement, que se passe-t-il dans notre corps, que faisons nous de mal pour être autant fatigués ?!
La naturopathie apporte quelques réponses et surtout des pistes pour s’en sortir et retrouver la banane, la pêche (ou n’importe quel autre fruit!) bref la forme, le dynamisme, la motivation…

Les causes de la fatigue :

Il y a d’abord les causes évidentes : Hyperactivité, trop de travail, effort physique important, surmenage, manque de sommeil…

Et il y a toutes les autres un peu moins connues ou reconnues en tant que causes de fatigue et pourtant…. :
La fatigue peut provenir du stress, de la sédentarité, d’une mauvaise alimentation, d’un organisme trop encrassé, trop acide, d’une mauvaise digestion, d’un manque de repos réparateur, d’une mauvaise gestion des émotions, d’une mauvaise connaissance de soi et de ses limites…

Gérer sa fatigue :

Il n’y a pas de recettes miracles, pour être moins fatiguée ou plutôt récupérer son énergie plus rapidement et plus durablement, il faut être en équilibre entre les périodes de grosses fatigues et nos moments de repos.
Je vais te donner des pistes simples, des moyens naturels mais essentiels pour trouver cet équilibre et pouvoir de régénérer correctement.

1 – C’est vital : Adopte une alimentation saine et équilibrée

« lis aussi : qu’est ce qu’une alimentation saine et équilibrée »
– Privilégie une alimentation riche en fruits et légumes de qualité et de saison dans la mesure du possible, des céréales complètes, des viandes blanches, du poissons, des légumineuses….
– Évite de consommer des produits raffinés, des produits sucrés et blindés de gras saturés (gâteaux, viennoiseries, chips, soda…), évite le sucre et le sel, les plats industriels.. ;
– Diminue ta consommation de cafés, thés et tous les excitants : même si tu as l’impression que ça donne un ptit coup de fouet en fait ils ont l’effet inverse, ils ne font que camoufler ta fatigue ce qui conduit au surmenage de ton organisme qui lui, lutte pour puiser dans ses dernières ressources d’énergie pour que tu ais cette impression d’être mieux réveillée après avoir bu un café ! (en plus d’épuiser et d’acidifier ton organisme)

2 – Respire ! (Respiration consciente et réfléchie)

Tu me diras « je respire déjà ! » Oui c’est sûr mais je te parle de respiration calmante qui va te permettre de te recentrer sur toi, de te poser. Une respiration « en conscience » permet de te calmer et de te ressourcer
Comment faire : Inspire lentement en gonflant le ventre et prends conscience du chemin qu’emprunte l’air que tu inspires : les narines, le palais, la gorge, la trachée, la cage thoracique qui se soulève.
Expire maintenant lentement en bloquant légèrement l’air qui sort de la gorge et en rentrant en douceur ton ventre comme si tu cherchais à le coller à ton dos.
Quand faire cet exercice de respiration : le matin au lever, le soir au coucher, au boulot, dans les transports, dans un moment de stress, de fatigue….c’est toi qui gère
Combien de temps, combien de fois : Autant de fois que tu en as besoin et 5-15-20 min là aussi c’est à toi de gérer.
Tu verras que pour les premiers exercices, il faudra que tu fasses l’effort pour adopter ce genre de respiration, mais à force de le faire, tu t’y habitueras et ton organisme aussi, tu feras cette respiration instinctivement, naturellement, sans le moindre effort.

3 – Aère toi !

Tu as un jardin, une terrasse, un balcon….une fenêtre : le matin prends le temps de prendre l’air encore frais et fais l’exercice de respiration en conscience vu plus haut. 2,3,4 fois autant de fois que tu peux et que tu en as besoin. Répète l’opération la journée.
Profite également des premiers rayons de soleil, le matin, ils donnent beaucoup d’énergie !

4- Du sport….

Oui, oui même toi qui est sédentaire, il te faut de l’activité ! Alors on se bouge !
Ne t’inquiète pas, il n’est pas question de sport de haut niveau mais de quelques activités récupératrices douces : marche, vélo, natation, gym douce, posture de relaxation…Rien de bien agressif tu vois !

**Prendre soin de s’aérer et de bien respirer permet : d’oxygéner les cellules, de nettoyer l’organisme des déchets, de redonner de la vitalité, de gérer ses émotions et de les transformer de négatives à positives.

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5 – Dors bien !

Le sommeil s’il n’est pas réparateur, nous épuise, nous stress, nous frustre…Le sommeil est un élément capital dans la gestion de la fatigue, pas de sommeil récupérateur, pas de repos, c’est simple à dire mais que faire si tu es une mauvaise dormeuse (tu te réveilles plusieurs fois dans la nuit, ton sommeil est agité, tu es fatiguée au réveil…).
Il faut t’occuper de ton dodo : préparation du sommeil, changement d’habitude alimentaire, changement de rythme…
Il est important, pour lutter contre la fatigue, de respecter son cycle, son appel au dodo : dès les premiers signaux de sommeil (yeux qui picotent et qui se ferment…) il ne faut surtout pas lutter mais aller dormir, même si se coucher tôt relève de l’impossible chez toi, il faut que tu t’écoutes ! N’aies pas peur de changer, ton organisme n’en sera que plus reconnaissant.
Si tu ne trouves pas facilement le sommeil et que ces signaux te sont inconnus alors organise ton sommeil : prépare un rituel, coupe les écrans au moins une heure (voir plus) avant l’heure de dormir, utilise des tisanes qui favorisent un bon sommeil…

6 – Prends du temps pour toi
« lis aussi 10 astuces pour lâcher prise »

Prendre du temps pour soi, ça fait du bien ! Ça détend ! Et si on est détendue, on peut alors se reposer.
Lis un livre, sors avec tes amies, joue un jeu de société avec tes proches, organise toi des soirées cocooning, offre toi un massage

7 – Le repos passe par l’acceptation !
Accepte d’avoir un temps d’arrêt, de pose
Accepte de te décrocher du passé et de vivre intensément l’instant présent
Accepte de te laisser le temps de faire des choses que tu aimes
Accepte de t’aimer, de te respecter et de respecter ton organisme, ses besoins et son cycle
Accepte les situations négatives, positive les et dis toi que la vie n’est pas un long fleuve tranquille, que ce n’est pas contre toi mais que c’est ainsi
Accepte enfin de faire en sorte que tes obligations deviennent des choix de vie, tu fabriques ainsi ton futur librement !

Réserve une consultation pour qu’on puisse, ensemble, trouver des solutions individualisées à ta fatigue (alimentation, organisation…)


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https://www.youtube.com/watch?v=5Mk_K0IAi6o

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

Les trois cures naturopathique

by 2 janvier 2019

Pourquoi trois cures naturopathique ? Lors d’une consultation avec un(e) naturopathe, celui-ci mettra en place avec toi l’application des trois cures en vue d’assainir et de débarrasser ton terrain de la toxémie.

Antoine Béchamps disait très justement :

principe de naturopathie

La toxémie est l’ensemble des toxiques et toxines qui encrasse et dégrade le terrain de chaque individu.
Le terrain est la base de travail du naturopathe.
Les toxiques (qui viennent de l’extérieur du corps : aliments, pollution, chimie médicamenteuse…)et les toxines (qui viennent de l’intérieur de notre corps : cellules mortes, ralentissement digestif, vie cellulaire…)sont des déchets déposés dans notre corps et qui baignent dans nos liquides. Si ils ne sont pas naturellement et correctement évacués (par la sueur, les urines par ex), la toxémie reste dans notre organisme jusqu’à être déposés dans diverses parties de notre corps et provoquent la maladie.
Les principales raisons de non éliminations des déchets sont : le stress, le manque de sommeil, le froid, le manque d’énergie, la sédentarité, les carences (eau, vitamines, oligo-éléments…)

Les trois cures naturopathique ont, donc pour but, de nettoyer ton organisme de cette toxémie en l’aidant à l’évacuer les déchets.

1- La cure de désintoxication

Cette cure vise à nettoyer le terrain en ouvrant les émonctoires (portes de sorties des déchets de l’organisme) qui sont : le foie, les intestins, les reins, les poumons, la peau. Le naturopathe choisira un ou plusieurs émonctoires à travailler en fonction du type d’encrassement. L’objectif est donc de drainer l’organisme en envoyant les toxines ou en les dérivant vers un émonctoire en vue de les éliminer.
Pour ce faire, nous procédons à un réglage alimentaire (qui permettra également de diminuer les sources de déchets), nous utilisons les plantes, les massages, l’activité physique…


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2- La cure de revitalisation

C’est une phase de reconstruction qui a pour but de rétablir l’énergie vitale à son meilleur niveau. L’organisme vient d’être drainer par la première cure, il faut donc le re-booster et lui faire le plein d’énergie.
Pour se faire le naturopathe va établir un programme alimentaire incluant des aliments vitalisant, des micro (vitamines, minéraux…) et macro (eau, acides gras essentielles…) nutriments. Il établira également un programme hygiène de vie adapté (respiration, relaxation, gestion du stress et des émotions, exercices physiques, organisation du quotidien…)

3- La cure de stabilisation

Ce n’est là, pas tout à fait une cure, mais une hygiène de vie du quotidien, une prolongation des deux premières cures qui deviennent en fin de compte une routine « santé ».
Il faudra donc, que tu poursuives sur les bonnes habitudes apprises lors des deux premières phases :
– Maintenir le réglage alimentaire
– Continuer le programme d’hygiène de vie (relaxation, sport…)

Toute la dimension de ces trois cures naturopathique visent à éduquer le client, c’est à dire toi, à te donner une autre vision de ton corps, de ta santé, ta vitalité, ta capacité d’auto-guérison !

Le rôle du naturopathe n’est pas te rendre dépendant de lui et de ses consultations, mais vraiment de t’apprendre à identifier tes carences, tes erreurs en vue de les corriger et d’optimiser ta propre vitalité, ta propre santé. C’est ça devenir acteur de sa propre santé.

*La durée des cures, les méthodes utilisées sont adaptées individuellement à chaque client en fonction de sa vitalité, de la nature de ses déchets, de sa capacité à évacuer les déchets…

Cet article présente un ensemble de conseils et ne remplace en aucun cas un avis médical et ne constitue pas une prescription.
Cet article ne vise en aucun cas à vous dissuader de consulter votre médecin généraliste ou spécialiste ni à arrêter votre traitement médical.

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